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C'est l'ouverture le vendredi 14 février de la Cabane à Tuque à Mont-Tremblant. Depuis 5 ans, la Cabane à Tuque opère un retour aux sources de la cabane à sucre dans une réinterprétation vėgane. Un retour aux sources, car l'hôte, Simon Meloche-Goulet, nous accueille chez lui et nous offre une cuisine de cabane à sucre avec 98% de produits locaux de sa terre et d'une grappe de producteurs artisans de la région. L'atmosphère est conviviale, la cabane peut servir au maximum 35 personnes à la fois. Tout est fait de façon artisanale. Mais oubliez le lard salé et le bacon: les cretons sont végés, les oreilles de Christ sont des croustilles de courge butternut et la tourtière est au millet. Ça présente l'énorme avantage qu'on sort de table rassasié, mais sans lourdeur. J'ai particulièrement apprécié les saveurs forestières: la soupe aux lentilles au baumier et la choucroute parfumée à l'épinette. Et bien sûr, la tire d'érable sur la neige, légère, qui fondait dans la bouche. 

Les places étant limitées, il est préférable de réserver.  De mars à mai, c'est souvent complet. Alors février est un bon mois pour découvrir cette cabane à sucre d'exception. Et en prime, vous profiterez du magnifique décor forestier hivernal.

La Cabane à Tuque est ouverte du vendredi au dimanche jusqu'en mai.

La Cabane à Tuque 

370 Montée Fortier, Mont-Tremblant, QC 

J8E 2E5

Située en plein cœur de la première Réserve internationale de ciel étoilé, la Route des Sommets invite à la découverte de panoramas saisissants sur des montagnes imposantes et des lacs majestueux et d’un ciel aux milliers d’étoiles. Vous partez ici à la conquête des sommets les plus haut du Sud du Québec à travers la Route des Sommets en voiture, en moto, à vélo ou en randonnée sur près de 193 km. Cette route touristique vous offre des points de vue exaltants sur les paysages au gré des saisons. C'est l'endroit idéal en août pour admirer les étoiles comme jamais auparavant dans la fabuleuse Réserve internationale du ciel étoilé du Mont-Mégantic. La nuit venue,  en août, admirez les perséïdes  et faites des voeux après chaque étoile filante. Des découvertes astronomiques sont au rendez-vous pour tous.
de passage dans la région,   il faut faire l'ascension des monts Saint-Joseph ou Méganticet découvrir l'ASTROLab et les observatoires astronomiques pour explorer tantôt la montagne, tantôt le ciel, voilà ce qui fait du Parc national du Mont-Mégantic un lieu où les activités « de la Terre et des étoiles » se côtoient dans une parfaite harmonie.

En effet, ce parc, créé en 1994, représente à la fois une destination de plein air quatre saisons de plus en plus recherchée ainsi qu'un attrait scientifique unique au Québec, au cœur de la Réserve internationale de ciel étoilé.

Le parc national du Mont-Mégantic est situé dans le petit village de Notre-Dame-des-Bois. Le parc fait partie du circuit touristique de la Route des Sommets.

Après une journée à grimper ces sommets, vous aurez besoin de vous reposer et de vous restaurer. À Notre-Dame-des-Bois, le gîte Haut Bois Dormant est un petit coin de paradis à découvrir pour tous les amants de la nature. Au gré des saisons, cette maison centenaire, saura vous charmer, tant par sa luminosité que par la vue imprenable qu'elle offre sur le mont Mégantic. Cinq chambres au confort douillet vous sont offertes. Chacune ayant son cachet particulier, elles sauront vous procurer un moment de détente inégalé. Lors de votre réveil, vous pourrez vous régaler des petits déjeuners faits à partir de produits maison, un pur délice de la chef-propriétaire Julie. Gâtez-vous avec les soupers gourmands trois services conçus selon vos goûts, mais apportez votre vin.

Peuplé depuis des milliers d'années par des peuples algonquiens, le Témiscamingue est devenu à la fin du XVIIe siècle un lieu de contact et d'échanges avec les Premières Nations vivant au sud de la Baie d'Hudson dans le cadre de la traite des fourrures. Les Français y établirent un fort à cette fin en 1689 et la région devint rapidement une zone de tensions avec les marchands anglais établis autour de la Baie d'Hudson. Quand le traité d'Utrecht reconnut la Baie d'Hudson comme une zone d'influence anglaise, le fort Témiscamingue fut déplacé sur son emplacement actuel au sud de Ville-Marie en 1720. 

Frère Moffet

Légendaire Frère Moffet

C'est autour de ce fort que les Oblats établirent en mission en 1863 et entreprirent par la suite la colonisation des terres défrichées par les entreprises forestières en y attirant des familles de cultivateurs venues des autres régions du Québec.  On attribue le développement de l'agriculture dans la région à l'obstination du frère Moffet dont on relate l'histoire à la Maison du frère Moffet au coeur de Ville-Marie. Construite en 1881, c'est l a plus ancienne résidence toujours existante de la région. Classée monument historique, c'est aujourd'hui un musée où on vous racontera les légendes entourant ce personnage historique. C'est son obstination  cà développer l'agriculture qui donna naissance au village de Ville-Marie à la fin du XIXe siècle, puis aux autres villages de la région qui se concentrent au nord du vaste lac Témiscamingue qui s'étire sur plus de 100 km. 

C'est le micro-climat créé par ce vaste lac de 400 km carrés qui a permis le développement d'un riche terroir en pleine forêt boréale. La forêt mixte de feuillus et de conifères autour du lac témoigne de ce micro-climat tout en contraste avec la forêt boréale typique de l'Abitibi où domine l'épinette noire quelques dizaines de km plus au nord.

Aujourd'hui, le site historique national du Fort Témiscamingue rappelle que ce lieu fut un carrefour d'échanges entre Européens, Québécois, Canadiens et Premières Nations pendant deux siècles. Vous y découvrirez comment on y vivait et commerçait au XVIIIe et XIXe siècles.

On pense la plupart du temps dans les milieux culturels à Samuel Larochelle, le jeune auteur originaire d'Amos qui est président d'honneur du Salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue qui s'ouvre aujourd'hui, comme à un romancier. On oublie trop souvent que c'est aussi un journaliste touche à tout (ou presque). On lui doit notamment une série d'articles sur l'impact du tourisme rose à Montréal, sa ville d'adoption, dans la foulée d'une étude réalisée en 2012 par Tourisme Montréal auprès des visiteurs venus dans la métropole qui révélait que les 6% de visiteurs qui s'étaient identifiés comme gais ou lesbiennes, représentaient 10% des dépenses touristiques effectuées à Montréal, soit 67% de plus que le touriste moyen.
"Environ 6% des touristes venus à Montréal en 2012 sont gais, selon Tourisme Montréal, et ont été associés à 10% des dépenses totales, soit plus de 240 millions de dollars. En prenant conscience de l'impact indéniable du tourisme rose, plusieurs destinations internationales livrent bataille à Montréal afin de séduire la communauté lesbienne, gaie, bisexuelle et transgenre (LGBT).Les chiffres sont sans équivoque: les gais et lesbiennes voyagent plus et dépensent plus que les hétéros." y soulignait-il.
Sans surprise, cette plus grande habilité à dépenser est liée au fait que la vaste majorité des touristes gais et lesbiennes n'ont pas d'enfants.
"Selon une étude de Out Now Consulting, le potentiel du marché touristique LGBT mondial pour les voyages d'agrément est passé de 165 milliards de dollars en 2012 à 181 milliards en 2013. Parmi les facteurs influençant le pouvoir d'achat des gais et lesbiennes, notons que 94,3% des touristes LGBT qui ont visité Montréal l'an dernier n'avaient pas d'enfant à la maison, selon Community Marketing." poursuivait-il.

On peut lire ces reportages de Samuel qui ont grandement contribué à stimuler l'intérêt pour le tourisme LGBT au Québec sur le site de La Presse.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201307/26/01-4674509-tourisme-rose-montreal-mise-sur-sa-difference.php

À l'initiative de la Coalition d'aide à la diversité sexuelle de l'Abitibi-Témiscamingue, quelque 175 commerces et établissements de la région ont arboré fièrement le drapeau arc-en-ciel à l'occasion de la journée internationale contre l'homophobie et la transphobie, le 17 mai. L'initiative a été particulièrement remarquée à Rouyn-Noranda où plusieurs commerces des principales artères commerciales du centre-ville ont arboré le drapeau arc-en-ciel.

La Coalition d'aide à la diversité sexuelle de l'Abitibi-Témiscamingue, un regroupement d'organismes communautaires de la région oeuvre depuis 15 ans à combattre l'homophobie et la transphobie et assurer un accueil adéquat aux personnes LGBT. 

Le Salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue qui se déroule du 23 au 26 mai à Amos, fait une belle place à la relève littéraire  LGBT. C'est en effet l'amossois d'origine Samuel Larochelle qui sera le président d'honneur du 43e Salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue qui se déroule à Amos du 23 au 26 mai 2019. Le journaliste indépendant et auteur s'est fait connaître depuis six ans avec ses romans et nouvelles après la parition de son premier roman "À cause des garçons". L'auteur sera présent en kiosque et participera à diverses activités.

Antoine Charbonneau-Demers

Comme président d'honneur,  Samuel Larochelle  s'est fait plaisir en invitant certains de ses auteurs coups de cœur à réciter un texte sur une thématique précise, le rapport aux racines et à sa région. Parmi les auteurs invités, aux côtés des Patrice Godin, Virginia Pésémapéo-Bordeleau, Valérie Chevalier, Louise Portal, Frédérique Dufort, Simon Lafrance et Michaël Bédard, on retrouve le jeune auteur gai de 24 ans Antoine Charbonneau-Demers, originaire de Rouyn-Noranda. Diplômé en création littéraire et du Conservatoire d’art dramatique de Montréal, Antoine Charbonneau-Demers a publié en 2016, Coco, son premier roman, pour lequel il a reçu le prix Robert-Cliche. Il revient présenter son deuxième roman Good Boy.

Samuel Champagne

Le salon reçoit aussi l'auteur Samuel Champagne qui se spécialise en littérature jeunesse LGBT. Après avoir complété une maîtrise portant sur la thématique homosexuelle dans les romans pour adolescents publiés au Québec, il a écrit Recrue, son premier roman, publié aux Éditions de Mortagne dans la collection « Tabou ». Son deuxième et son troisième romans, Garçon manqué et Éloi, parus dans la même collection, traitent quant à eux de la transsexualité. Ils furent les premiers romans de fiction pour adolescents sur cette question à être publiés au Québec. Garçon manqué a d'ailleurs reçu le prix AQPF-ANEL, en 2015. 

Samuel a également fait paraître Quand le destin s'en mèle en 2016 et, en 2017, a écrit la nouvelle Les premières fois, dans le collectif L'amour au cœur de la vie, publié chez Québec Amérique, en plus de publier Trans, un récit autobiographique relatant sa transition de genre. En mars 2016, il s’est vu remettre le Prix relève du CMCC – La Fabrique culturelle. Ce prix venait souligner l’excellence de son travail et l’appuyer dans la poursuite de son parcours artistique professionnel. En 2018, il a été invité d'honneur au Salon du livre de Montréal. Samuel s’est toujours intéressé aux histoires qui sortent de l’ordinaire. Transsexuel et homosexuel, il est vite préoccupé par l’absence de littérature où lui et ses pairs, particulièrement à l’adolescence, peuvent se reconnaître. Ce vide a été le déclencheur de toutes ses études et le stimule constamment dans son écriture. Il termine d'ailleurs une thèse de doctorat sur la thématique du placard en littérature et espère pouvoir poursuivre ses recherches au post doctorat. 

Auteur au talent d’écriture évident, ses histoires touchent notre sensibilité et permettent à tous de comprendre et d’accepter la complexité de l’humain que nous sommes. C'est pourquoi il a décidé d'orienter son écriture vers les thématiques LGBT et de donner voix à des personnages à la sexualité ou l'identité de genre minoritaire. C'est aussi la raison d'être de la nouvelle collection des Éditions de Mortagne : 

« Kaléidoscope », dans laquelle Samuel  a fait paraître ses trois premiers romans. Il est fermement convaincu que ces personnages et leurs histoires peuvent instaurer un dialogue, donner confiance aux lecteurs et démontrer la beauté de la diversité humaine.

Samuel Champagne participera samedi 25 Mai à une table ronde sur la diversité.

Salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue 2019

La romancière et dramaturge acadienne Antonine Maillet a été élevée, le mardi 7 novembre dernier à Paris, au rang de grande officière de l'Ordre national du Mérite français.

Antonine Maillet

Institué par le président Charles de Gaulle, l'ordre « récompense les mérites distingués – militaires ou civils – rendus à la nation française ». L'ordre compte trois grades : chevalier, officier et commandeur, ainsi que deux dignités : grand officier et grand-croix. Mme Maillet, aujourd'hui âgée de 88 ans, accède donc au quatrième des cinq grades de cette décoration française, la deuxième après la Légion d'honneur. Mme Maillet est d'ailleurs déjà officière de la Légion d'honneur depuis 2003.

Mais la reconnaissance de la France remontait déjà aux années 1970 : la mère de La Sagouine avait remporté le prestigieux prix Goncourt en 1979 pour Pélagie-la-Charrette.

La romancière a reçu sa récompense à Paris, mardi 7 novembre, des mains du secrétaire d'État auprès du ministre français de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste Lemoyne, selon un communiqué du gouvernement du Nouveau-Brunswick. La secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie, Michaëlle Jean, assistait à la cérémonie, indique-t-on.

À Fredericton, la ministre responsable de la Francophonie au Nouveau-Brunswick, Francine Landry, a félicité la romancière, qui « incarne les valeurs de la Francophonie et est une figure emblématique de la littérature acadienne et francophone. Membre de la Société royale du Canada, compagne de l'Ordre du Canada, officière de la Légion d'honneur, chancelière émérite de l'Université de Moncton et membre de l'Ordre du Nouveau-Brunswick, elle est l'ambassadrice par excellence du peuple acadien, et sa contribution au rayonnement et à la promotion de la littérature francophone et de l'Acadie dans le monde est inestimable. »

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Située au bout du majestueux fjord du Saguenay et sous l’oeil omniprésent du massif des monts Valin, la ville de Saguenay s’impose comme la septième plus grande ville au Québec avec ses quelque 145 000 citoyens ,soit plus de la moitié de la population  de 280,000 habitants de la région du Saguenay Lac-Saint-Jean, et son territoire de 1 165 km2 qui couvre deux fois la superficie de l’île de Montréal.

Née principalement de la fusion des villes de Chicoutimi, Jonquière et La Baie, c’est une ville universitaire, industrielle et de services, la plus importante agglomération de tout le Québec maritime. C’est bien sûr là que la vie gaie et lesbienne a pu avoir pignon sur rue depuis des décennies.

Ce n’est toutefois pas encore une ville dont la trame urbaine est pleinement intégrée chacun des trois arrondissements conservant son centre-ville, des centre-ville isolés les uns des autres par une dizaine de km, séparés par des zones parfois encore rurales. Aussi, il ne faudrait pas vous surprendre de voir dans la signalisation routière chacun de ces centre-ville être indiqué.

L’arrondissement de La Baie, certes le plus ancien, est aussi le plus touristique et pittoresque avec son paysage du fjord et son terminal de croisière. Le véritable centre-ville de Saguenay est dans l’arrondissement de Chicoutimi là où se trouve autant l’Hôtel de Ville que l’université. Plus à l’ouest, l’arrondissement de Jonquière, qui comprend en plus de l’ancienne ville de Jonquière, les villes fusionnées d’Arvida et Kénogami, est le cœur industriel de la ville avec ses usines de papier et d’aluminium.

ShipwrightInn_OEP

The Award-Winning 5 Star Shipwright Inn B&B, located in Olde Charlottetown, PEI, “The Gentle Island”, has been rated as the “Best Bed and Breakfast on Prince Edward Island” and one of the “Top Ten B and B’s” in Canada by Frommer’s Travel Guides and is AAA/CAA 3 Diamond approved. We offer warm, Island hospitality and attentive service.

Our accommodation is well appointed but not intimidating and has all the benefits of an hotel and so much more. Quiet and safe. Convenient location, walk to everything in town — fine dining, shopping, the boardwalk, waterfront activities and the Confederation Centre of the Arts. Walking and biking trails nearby.

We provide off street parking and a smoke free home. There are 30-plus courses here (starting only a matter of minutes away) so, given PEI’s small size, you can play a round and still have plenty of time for touring, dining, beaches, Anne of Green Gables attractions, lighthouses, seal watching, Provincial and National Parks, heritage roads, historic villages, antique and craft shopping.

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