Par Pierre Perreault
MÀJ - 20-12-2025
L’Anse Saint-Jean cherchait une nouvelle vocation pour le vieux presbytère voisin de l’église. Il y a bien eu un projet de centre culturel, et une boulangerie y a tenu commerce un certain temps. Aujourd’hui, il semble bien que ce soit l’entreprise de David Landman, Français d’origine et cuisinier de formation depuis 18 ans, qui occupe désormais l’endroit.

Ce passionné de la saveur, de la justesse et de l’extravagance gustative opère et dirige une chocolaterie dans ce village du Bas-Saguenay en bordure du fjord. KAO Chocolat charme déjà les amateurs de chocolat depuis 2014. D’abord acquise avec un ami de longue date, l’entreprise a déménagé en 2022 dans le vieux presbytère. On parle même d’un projet d’acquisition du bâtiment en cours.
David, a débuté sa carrière comme apprenti à Paris, ensuite à Bruxelles, puis l’a poursuivie à Montréal. Son implantation à L’Anse-Saint-Jean remonte à 2018. Charmé par l’âme du village, David était en alors à la recherche de nouveaux défis : l’opportunité d’acquérir KAO Chocolat fût pour lui l’occasion de quitter Montréal et de s’associer alors avec son ami Peter.

Fort de ses bases sur le travail du chocolat, David voit en KAO Chocolat l’opportunité de faire vivre le terroir québécois en l’exprimant par la création de fines bouchées gourmandes et irrésistibles. On parle ici d’une palette de saveurs issue de la forêt boréale et du terroir québécois, à travers l’univers du chocolat.

« KAO Chocolat a débuté modestement, mais ses produits, en raison de leur originalité et de leur qualité, ont tout de suite connu le succès. D’où la nécessité de s’agrandir », explique le chocolatier. Kao Chocolat compte quatre employés en temps normal. Ce nombre augmente à cinq ou six pendant la période de pointe de l’été.

KAO Chocolat produit donc sa gamme de produits fins dans le vieux presbytère de L’Anse-Saint-Jean depuis 2023. David insiste sur l’importance pour KAO Chocolat de s’identifier à son milieu. « Je veux créer des saveurs originales à partir de produits locaux ; il va sans dire que le bleuet figure dans ma liste ! D’autre part, mon approvisionnement est assuré, tant que c’est possible, par des fournisseurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Les matières premières proviennent de producteurs de fermes biologiques et/ou équitables afin de respecter le savoir-faire traditionnel et l’environnement de nos communautés locales ».

Pour ce qui est du cacao, sa démarche respecte le travail des producteurs et la valorisation de leurs terres. Sa priorité à cet égard est l’équité. La protection de l’environnement fait également partie de ses priorités. « Je fais en sorte de réduire à la source la production de déchets. Par exemple, tous nos emballages sont fabriqués à partir de matières recyclés et réutilisables. »
Dans ses projets à court terme, il aimerait pouvoir transiger avec les producteurs de cacao et transformer lui-même les fèves pour avoir un plein contrôle sur la qualité des chocolats qu’il confectionne. Il y travaille sérieusement.

Puis, KAO a ajouté à ses produits les gelatos au chocolat noir, blanc et au lait qu’il sert directement par un comptoir installé pour l’occasion donnant sur la galerie. Des tables et des chaises sont installées au balcon et sur le parterre adjacent. On peut les déguster dès la mi-juin jusqu'en automne. David parle aussi d’aménager une autre section du presbytère pour en faire un lieu on pourra déguster les produits de KAO.
KAO Chocolat
kaochocolat.com
261 rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean, QC, G0V 1J0
(418) 608-8005
Par Pierre Perreault
MÀJ : 20-12-2025
C’était en 2018. Un vieux motel des années 1960, situé à l’entrée de l’artère principale menant au cœur du village de l’Anse Saint-Jean, au milieu de la magnifique vallée du Bas Saguenay, attire l’attention d’un groupe d’amis qui partagent la même passion pour la nature, la rencontre avec les gens et l’amour de la bonne cuisine.

C’est alors qu'est né ce projet un peu fou de restaurer le bâtiment et d’en faire ce qui est aujourd’hui connu comme Le Camp de Base, un lieu d’hébergement distinctif, simple et écoresponsable, explique Marie Lerdu, adjointe à la directrice générale. Ce groupe composé de gens d’expériences en restauration, tourisme et d’origines diverses, dont certains de la région même, a formé une entreprise pour assurer la réalisation de leur rêve dans les meilleures conditions possibles. Certains d’entre eux en sont également des employés assurant la gestion et la coordination des activités d’hébergement et de restauration.
Avec un plan d’action précis et plusieurs rénovations importantes plus tard, dans les 9 chambres et un dortoir, en plus des équipements de la cuisine, le Camp de base a pris son envol et a pu accueillir ses clients. Aujourd’hui, on peut y dormir en chambre ou dortoir (7 places), y camper avec tentes ou VR, et y manger et boire. Le tout avec des tarifs abordables, un terrain de pétanque, une cuisine et des aires communes conviviales, propices aux rencontres ainsi que des expériences gustatives uniques au resto.

Les chambres sont tout ce qu’il y a de plus confortable. Pour chacune on y trouve, entre autres : une salle de bain privée avec douche et baignoire, un mini réfrigérateur, la literie et les serviettes, une entrée individuelle avec accès extérieur, un stationnement privé, une table extérieure, un accès à la cuisine commune par l’intérieur. À noter que les chambres ne sont pas équipées de téléviseur. On y offre cependant un accès gratuit au wifi.

Si l’hébergement en chambres est offert toute l’année, les services de resto et de bar le sont aussi, sauf pendant quelques semaines au printemps après la fin de la saison de ski. Le resto bar est devenu un endroit populaire où se donne rendez-vous pour toutes sortes de raisons. L’été, la terrasse extérieure ajoute au plaisir de l’expérience. Des événements spéciaux musicaux ou autres (des spectacles de chanson, de l’improvisation et même des soirées jeux de société) sont présentés à divers moments de la saison. « Bien que l’endroit attire un grand nombre de touristes tout au long de l’année, nous avons la réputation d’être un lieu de rassemblement social pour les habitants du village », nous confie Marie Lerdu. Le mélange des touristes et des résidents crée des soirées fort chaleureuses.

Au resto, on propose une cuisine toute en saveur, des plats fumés maison et des mets végétariens créés avec des produits locaux. On fume sur place les viandes et les poissons de façon artisanale avec l’expertise de Füm Füm afin d’offrir une expérience gustative unique. Une cuisine gourmande préparée sur place, des tapas savoureux, à manger seul ou à partager, des pizzas originales, les meilleurs sandwichs et burgers en ville et de réconfortants menus du jour. Le resto bar est certifié « Ambassadeur de saveurs » par Zone Boréale, ce qui signifie qu’on attache une grande importance à l'origine des produits. Que ce soit dans les assiettes ou dans le bar, on y propose des produits locaux ou régionaux.

En ce qui concerne le bar, pour prendre une bière bien fraîche été comme hiver, en après-ski ou en revenant de randonnée, il n'y a pas mieux. De façon régulière, on invite à découvrir une microbrasserie. On peut aussi déguster un cocktail créé à même une sélection de boissons québécoises dans une ambiance relaxe. Les amateurs de vins apprécieront les produits d'importation privée exclusifs. On peut aussi y trouver les bières de la Chasse-Pinte, l'authentique microbrasserie Anjeannoise, ainsi que des bières collaboratives saisonnières.

Bref, l’Auberge Camp de base de l’Anse Saint-Jean joue un rôle important dans l’accompagnement des villégiateurs et dans l’accueil des gens du coin qui veulent se retrouver pour passer de bons moments et s’offrir de quoi boire et manger dans un environnement sympathique.
Pour leur part, depuis 2022, les campeurs trouvent derrière l’auberge, au bord de la rivière Saint-Jean, réputée rivière à saumon, plusieurs espaces pour les tentes et pour les VR, sans service d’électricité ou d’eau potable. Pour un contact direct avec la nature dans un milieu boisé. Les campeurs ont toutefois accès à la cuisine commune et aux salles de bains de l’auberge en tout temps. Des partenariats avec Saguenay Aventures et d'autres organisations du milieu permettent d'offrir des forfaits en diverses saisons pour profiter du plein air et des activités nautiques, par exemple.
Bref, l’Auberge Camp de base l’Anse Saint-Jean agit comme une porte d’entrée vers les beautés de cette municipalité aux mille attraits qui donne le ton à ce qui attend les visiteurs.
Auberge Camp de base l’Anse Saint-Jean
aubergecampdebase.com
5, rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean, QC G0V 1J0
418 272 3359
Par Pierre Perreault
MAJ : 20-12-2025
Pour Sébastien Pirot, l’amour est dans les Alpes françaises. Pourquoi ? Parce que c’est là qu’il a rencontré sa conjointe et mère de ses trois enfants. Son associée du coup !
C’est donc de là que tout est parti. En 2003, il fait une première visite au Québec. En 2006, lors d’une visite chez une amie, il découvre l’Anse St-Jean. D’origine bretonne, Sébastien Birot a fait plusieurs tours du monde avant de venir y établir sa famille dans ce magnifique village du Bas-Saguenay. Il a séjourné ou travaillé dans plus d’une de dizaine pays.
Mais l’amour, plus fort que tout, l’a porté ici. Il y a fait l’acquisition d’une maison en pleine nature. Ses trois enfants y sont nés et y grandissent. Chaque année, il devait retourner en France pour travailler l’été. Et à son retour en automne, il repartait parfois vendre des arbres de Noël à New-York. Mais c’est enfin à l’Anse qu’il a fini par réaliser un de ses vieux rêves : avoir son propre établissement et partager les saveurs de son pays d’origine.
En 2012, il apprend entre les branches que les propriétaires de la boutique les Rebelles des bois face au quai souhaitent ouvrir un café dans leur établissement. Rebelles des Bois représente le travail de plus de 80 artisans et designers québécois. L'entreprise crée également une ligne de bijoux et d'objets design.
Qu’à cela ne tienne, Sébastien se met au travail et planifie ce qui deviendra le premier et encore seul restaurant à offrir une des fiertés de son coin de pays d’origine : les crêpes bretonnes.

Ouvert à l’été 2013, le Café du quai a comblé un vide dans le paysage saguenéen selon plusieurs. De nombreux produits des artisans et producteurs locaux ont par ailleurs fait leur apparition sur le menu, permettant d’heureuses combinaisons entre les terroirs. « Parce que dans la cuisine aussi, les cultures se rencontrent, se marient », rappelle Sébastien avec un sourire coquin.
L’endroit est idéal : face à un quai où chaque jour en saison des centaines de visiteurs embarquent ou débarquent de bateaux de croisières ou d’autobus, où des dizaines de kayakistes viennent s’adonner à leur sport, où de nombreux plaisanciers y ont leur bateau à la marina. Sans parler de tous les autres qui viennent découvrir le magnifique paysage du fjord, pour quelques heures ou quelques jours. Sur deux étages, on peut accueillir jusqu’à une cinquantaine de clients à la fois. L’endroit procure de l’emploi à 22 personnes.

Sébastien s’est assuré des services de chefs qualifiés qui ont su s’approprier les meilleures recettes de crêpes bretonnes. On n’y fait pas que des crêpes repas, desserts ou flambées au Café du quai. On y sert aussi des sandwiches et paninis, et on offre des tables d’hôte. On a même vu passer au menu un Club Sandwich du quai au poulet mariné, bacon, jambon, fromage suisse, tomate, mayo assaisonnée maison & épinard. Les cafés y sont aussi à l’honneur.

Sébastien invite ses compatriotes à venir retrouver un morceau de saveur de France. Et pour les Québécois et voyageurs de partout ailleurs, à y découvrir ou redécouvrir ce volet de la gastronomie qui puise ses sources dans une philosophie de vie simple et authentique, nourrie au grand air de Bretagne. Ouvert 7 jours durant l’été, et sur un horaire qui varie en hiver et au printemps.
Note : nous y somme passés le 20 décembre 2025 et on y a retrouvé les mêmes bons mets et le sourire éclatant de la serveuse, à notre grand plaisir.
Café du quai – Restaurant et crêperie bretonne
cafeduquai.ca
358 A, rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean, Quebec G0V 1J0
(418) 272-1190
Il y a maintenant plus de 20 ans, en 2025, que David Janelle a entrepris de réaliser son projet de devenir chef cuisinier. Originaire de Chicoutimi, son plan l’a amené à quitter la région un certain temps, et même à traverser l’océan, pour finalement revenir y établir les bases de son rêve devenu réalité : posséder son propre restaurant.
Le chemin pour y parvenir a été rempli de belles expériences. De 2003 à 2005, il s’engage dans une formation en cuisine d’établissement au Centre de formation professionnelle Fierbourg, à Québec. Il travaille pendant la même période dans des restaurants du Vieux-Québec et va même passer quelques mois en stage en France, dans un restaurant réputé de Vendée, pour développer de nouvelles compétences en cuisine française et en fonctionnement de production avec des produits régionaux.

Puis, un collègue connu à Québec l’invite à venir le rejoindre à son restaurant de La Baie où il devient sous-chef. En 2007, il fait son entrée à La Cuisine comme sous-chef à l’invitation du propriétaire d’alors, M. Bergeron. Depuis 1994, le restaurant La Cuisine, propose à Chicoutimi une cuisine du marché authentique et créative. Tout est cuisiné sur place afin d’offrir une qualité maison inspirée des saisons, en priorisant l’utilisation de produits frais et régionaux.
Puis en 2012, il devient chef principal de l’établissement après le départ du précédent. Il s’approche alors de plus en plus de son rêve et s’engage rapidement dans le développement d’une cuisine misant toujours davantage sur les produits régionaux. Cela vaudra d’ailleurs la reconnaissance de La Cuisine comme Ambassadeur de saveurs de la Zone Boréale. Cette accréditation, émise par la Table agroalimentaire du Saguenay-Lac-Saint-Jean, engage à mettre en valeur les produits typiques de la région. Arrive en 2016 le concours télévisé du Combat des villes où des chefs de diverses régions sont jumelés pour la compétition. David Janelle y remporte la 3e place, ce qui procure une belle visibilité à La Cuisine.
C’est en 2017 que le propriétaire fondateur de La Cuisine choisit de passer le flambeau à son chef principal, qui n’attendait que cette occasion. Guillaume Bergeron s’est dit fier d'avoir transformé cette ancienne brûlerie et épicerie fine en restaurant. Celui-ci s’est bâti une solide renommée depuis deux décennies. David Janelle en fait l’acquisition, d’abord avec un associé, puis propriétaire unique depuis 2019 après le rachat des parts.

David Janelle est la preuve vivante que les rêves peuvent se réaliser si on sait miser sur ses forces, ses compétences et la confiance de partenaires pour développer sa passion et mettre en place les outils pour y parvenir. Sa motivation ultime, c’est de « faire découvrir la région par les assiettes ». Le chef Janelle ne cesse de pousser toujours plus loin ses connaissances. Il va chercher ses inspirations dans les voyages, auprès d’autres chefs et aussi dans les livres de recettes. La signature #borealivore adoptée par le chef Janelle et toute son équipe de La Cuisine est significative de cette passion et de l’engagement de l’établissement à agir comme un pilier de la cuisine locale pour plusieurs années encore.
Consulter le menu de La Cuisine, c’est faire un voyage dans des saveurs originales, des mets aux appellations suggestives, des descriptions d’ingrédients étonnantes et un contact avec une appropriation du territoire évidente. Le cellier du restaurant est disposé à satisfaire les accords de vins les plus improbables, mais des plus réussis.

En plus de sa vaste salle à manger, le restaurant La Cuisine propose ses deux salles privées pour des réceptions ou des repas de groupes. Elles sont appréciées dans le cadre de rencontres d’affaires ainsi que lors d’évènements familiaux. Elles sont disponibles avec repas et service personnalisé. À l’étage, la salle Denis-Fortin est une salle chaleureuse pouvant accueillir jusqu’à 60 personnes. Elle offre une magnifique vue sur la rivière Saguenay et offre plusieurs possibilités. Au sous-sol, la somptueuse salle du Cellier est idéale pour des réunions entre collègues. Elle peut recevoir jusqu’à 16 personnes.
Restaurant La Cuisine
restolacuisine.com
387, rue Racine Est
Chicoutimi, QC, G7H 1S8
(418) 698-2822
En plus d’être situé dans un lieu enchanteur un peu en retrait du centre-ville, voisin d’un golf de catégorie championnat unique au Québec, l’hôtel Double Tree par Hilton Québec est facile d’accès le long de l’autoroute 73 nord et fait partie d’un groupe hôtelier qui a grand souci de la qualité d’accueil et de la satisfaction totale de sa clientèle.
Construit il y a une vingtaine d’années, il porte la bannière Double Tree Hilton depuis 2019, moment où on y a fait d’importantes rénovations et une mise à jour des installations à plusieurs niveaux, toujours pour relever le prestige de l’endroit et de la bannière. C’est toutefois en 2023 que le Groupe Hôtelier Ben, déjà propriétaire de trois autres hôtels à Québec et à Trois-Rivières, en a fait l’acquisition et l’opère désormais.
Le directeur des opérations depuis trois ans de cet établissement comptant une centaine de chambres de diverses catégories, Sebastian Martinez, a une dizaine d’années d’expérience dans des hôtels Hilton. Comme responsable de tout ce qui assure le bon fonctionnement de l’hôtel, il est bien placé pour nous parler des qualités et des avantages de l’endroit.
Les clients peuvent profiter de plusieurs services et commodités, dont une piscine extérieure chauffée, une salle de gym, des salles de réunions et de réceptions, et un restaurant réputé et apprécié autant des gens de la région que des clients, Le Dijon. De plus, la clientèle peut profiter de bornes de recharge des voitures électriques et le stationnement est gratuit en tout temps.

Justement, le Dijon, le restaurant accueillant et élégant de l'hôtel, propose une expérience gastronomique inspirée des chefs, ainsi qu'une vue à couper le souffle sur les parcours luxuriants du golf de la Faune. Lors de soirées agréables, les hôtes peuvent savourer un repas en plein air sur la terrasse avec son toit rétractable, tout en savourant une sélection parmi un vaste menu de vins raffinés, de bières artisanales et de cocktails exclusifs. Le Dijon propose des événements spéciaux plusieurs fois durant l’année dont des brunchs pour Pâques, Noël et le Nouvel an.

Fait à signaler, l’hôtel a établi un partenariat avec les organisateurs des célébrations de la Fierté de Québec depuis 2024, et ce pour les quelques prochaines années. Sebastian Martinez est fier d’avoir gagné la confiance des dirigeants de l’organisme et il se réjouit déjà des retombées d’un tel partenariat à ce jour. Sur la page Facebook du Double Tree par Hilton, on invite les gens de la communauté LGBTQ+ à se joindre à eux pour célébrer la diversité et l'inclusivité lors du week end de la Fête du travail au cœur de la ville de Québec. « Rassemblons-nous pour soutenir la communauté LGBTQ+ et profiter d'une série d'événements, de spectacles et de célébrations vibrants qui honorent l'amour, l'égalité et la fierté », peut-on y lire.
M. Martinez signale également l’engagement communautaire de l’établissement avec la participation à diverses campagnes de levées de fonds durant l’année avec des organismes du milieu et des activités de la Ville de Québec, entre autres.
Un groupe hôtelier dynamique
Après avoir fait l’acquisition de son quatrième hôtel, DoubleTree par Hilton Québec, Qingdong Ben a crée le Groupe Hotelier Ben. Son parcours a commencé en 2016 lorsqu’il a acheté son premier établissement, l’Hôtel Quartier du boul. Laurier à Québec. Il s’est poursuivi à Trois-Rivières en 2020 avec l’hôtel Les Suites Laviolette, puis à Québec en 2021 avec le Quality Inn du boul. Wilfrid-Hamel. Qingdong Ben est président du Groupe Hotelier Ben et Linche Wang occupe le poste de vice-présidente. Karen Coronel agit comme vice-présidente des opérations et Guylaine Desrosiers occupe les fonctions de vice-présidente ventes et développement.
Pour le président du Groupe hôtelier Ben, il va sans dire qu’une telle acquisition aura des retombées économiques, non seulement sur toute l’industrie touristique régionale, mais aussi sur le commerce de détail en général.

Double Tree par Hilton
facebook.com/doubletreequebec
hilton.com/fr/hotels/yqbqcdt-doubletree-quebec-resort
7900 rue du Marigot
Québec, Qc, G1G 6T8
(418) 627-8008
Pour souligner le 50e anniversaire de l’album Neiges, d’André Gagnon, décédé le 3 décembre 2020, Audiogram vient de lancer une nouvelle version vinyle de collection avec un livret hommage qui comprend des photos inédites et des notes personnelles du musicien.
En revisitant l’album, on s’est rendu compte à quel point c’était une musique super actuelle et à quel point, André Gagnon est un génie qui a marqué par son audace, indique Mathilde Corbeil d’Audiogram. En 1975, la musique classique appartenait à une classe un peu plus éduquée. Il l’a fait rencontrer avec la musique populaire.
Les concepteurs se sont aussi plongés dans l’imagerie d’André Gagnon à cette époque. « Quand on a fouillé dans les archives, on a été saisis de voir toute l’originalité, les décors super colorés, vraiment audacieux. On s’est dit: ah, mon Dieu, c’était ça aussi, André Gagnon! »

Reconnu comme un disque phare des années 1970, Neiges a passé 24 semaines dans le classement des dix meilleurs vendeurs du Billboard américain et s’est vendu à 700 000 exemplaires dans le monde. Il comprend entre autres le succès planétaire disco Wow. En 1977, Neiges avait remporté le Juno de l’album le plus vendu et Wow, celui du simple le plus vendu. Cet hymne disco instrumental ajouté à la dernière minute pour compléter l’album « Neiges », paru l’année précédente, n’a rien de moins que « volé la vedette » du disque.
La notoriété d’André Gagnon dépasse largement les frontières du Québec et du Canada dans les décennies suivantes. En Europe comme en Asie, le pianiste s’est illustré sur les plus grandes scènes du monde.
Originaire de Saint-Pacôme, il est décédé le 3 décembre 2020 à l’âge de 84 ans. Il souffrait depuis quelques années de la maladie dégénérative à corps de Lewy, un trouble neurocognitif aux symptômes s’apparentant à ceux de la maladie d’Alzheimer et de la maladie de Parkinson.

De plus, des concerts hommages de l’Orchestre Métropolitain auront lieu les 13 et 14 décembre, à la Maison symphonique de Montréal. Deux des trois représentations affichaient complet aujourd’hui, le 2 décembre.
L’OM rend un vibrant hommage au compositeur André Gagnon, véritable fleuron de la musique québécoise. Pianiste accompli et fervent défenseur de la culture québécoise, André Gagnon s’est toujours efforcé de faire le pont entre musique classique et populaire. Neiges en est un brillant exemple, avec son Dédéthoven inspiré par Beethoven, sa Chanson pour Renée Claude ou son Petit concerto pour Carignan et orchestre, dédié au meilleur violoneux du Québec, Jean Carignan.
Des œuvres chorales complètent le programme afin de nous plonger dans l’ambiance des fêtes avec entrain et un brin de nostalgie.
À Québec, capitale gastronomique par excellence, le nom de Stéphane Modat est bien inscrit dans le firmament des chefs incontournables et des propriétaires de restaurants haut-de-gamme. Lorsqu’on est invité à passer un peu de son précieux temps avec lui pour discuter de la formule de son Clan et profiter ensuite de son menu-dégustation, on ne peut que se sentir privilégié.
Ce Français arrivé au Québec il y a 25 ans avec déjà pas mal d’expérience, d’idées et de projets, s’est signalé dans quelques établissements réputés de Québec, avant de passer à la direction des cuisines du Champlain au prestigieux Château Frontenac, poste qu’il a occupé pendant huit ans. Puis arrive la pandémie de Covid en 2020 : il y voit l’occasion d’opérer des changements et de lancer sa propre affaire.
Février 2021, il quitte le Château et entreprend ses démarches l’amènent vers l’ancien Café de la paix, rue Des Jardins, autrefois un haut-lieu de cuisine française à Québec, un établissement mythique fondé en 1952 et ayant fermé ses portes en 2013. Pourquoi cet endroit plutôt qu’un autre? « Il faut écrire l’histoire dans quelque chose qui est historique », disait Stéphane Modat alors qu’il se préparait à y établir son Clan.

Par définition, le clan est un petit groupe de personnes qui ont des idées, des goûts communs et qui les partagent dans leur entourage ou encore un groupe de personnes se soutenant mutuellement par passion ou intérêt. Pour le chef Modat, ce concept est appliqué à sa formule d’affaire : réunir autour de lui des producteurs, des maraîchers, des transformateurs, des artisans et des commerçants qui proposent des produits locaux et régionaux de qualité, pour les faire découvrir à sa clientèle d’ici ou d’ailleurs et ainsi établir une communauté du terroir tout en participant au développement d’une gastronomie québécoise qui rayonne à l’international.
Viandes, gibier, poissons, fruits de mer, légumes, épices, et autres produits sont constamment dans la mire de Stéphane Modat qui parcoure les régions pour découvrir sans cesse les meilleurs produits et les producteurs les plus originaux et performants. « Pas de compromis possible dans ce domaine », assure-t-il. Le logo du restaurant au cœur du Vieux-Québec exprime bien cet esprit : l’union des produits de la chasse et de la pêche dans un environnement de terroir, ce qui traduit l'amour du chef pour ces activités.
Qu’est-ce qui le motive au quotidien depuis qu’il a créé le Clan? « Je nourris le monde! Je suis chanceux de recevoir les gens chez moi et leur offrir le meilleur à tous les niveaux! »

L’un des éléments clés de la formule du Clan : tout le monde y entre par les cuisines. Autant les clients que les fournisseurs et le personnel, on y a accès par le lieu où tout se passe vraiment. Une fois rendu à l’étage, on est aussitôt plongé dans une ambiance qui prépare à ce qu’on va nous faire vivre ensuite. « Accueillir les gens, c’est ma passion », assure le chef Modat.
À lui seul, le menu dégustation qu’on nous a servi lors de notre visite est totalement une aventure gustative et émotive. On passe par de multiples saveurs et on se délecte de la présentation de chaque mets avant même qu’il soit porté en bouche. Les pétoncles de Baie-Comeau (Aguachile de légumes d’été / Encre de seiche /OEufs de truite /Oignons Marinés), l’esturgeon jaune de Châteauguay (Topinambours / Airelles / Amandes / Caribou / Gingembre), la pintade de Cap Saint-Ignace (Morilles aux miso / Foie gras / Tempeh / Crème de volaille), l’Hommage à Marie-Victorin (Lactaire / Bleuet / Thé des bois / Épinette), et leurs accords de vin, voilà quelques exemples de ce qui attend les amateurs de découvertes gastronomiques vraiment uniques.

Le chef Modat innove également avec ses menus-midi en formule tapas « Café de la paix » depuis l’été 2024, populaires auprès des travailleurs du secteur et des visiteurs à la recherche de curiosités culinaires basées sur les produits du terroir québécois. De plus, il accepte les invitations à partager ses talents auprès d’autres établissements comme chef invité, et même sur des paquebots amarrés au port de Québec à l’occasion. Sans compter sa participation à des événements internationaux en tant que conférencier expert, ici et à l’étranger.
Stéphane Modat, père de quatre enfants devenus adultes et adolescents, tous nés à Québec, s’engage aussi dans la communauté depuis quelques années, entre autres au Patro Roc Amadour de Limoilou qu’ont fréquenté ses enfants, avec un repas de bouilli aux légumes de 180 portions servi dans le cadre d’un événement de financement. Son ami Peter Simons de l’entreprise plus que centenaire portant son nom, s’est joint à lui pour l’occasion.
Fait à signaler, en mai dernier, le Guide Michelin accordait une recommandation du Clan auprès du prestigieux annuaire gastronomique de renommée mondiale. Par ailleurs, le Clan a été désigné « Restaurant de l’année 2025 » au Québec aux prestigieux Lauriers de la gastronomie.

Cet entrepreneur venu de France s’est totalement intégré dans sa ville d’adoption, à Québec. Il en est devenu le symbole vivant que la détermination, l’innovation, la qualité et la diversité constituent des ingrédients essentiels au succès. Le Clan représente bien ce qu’il considère comme le secret de son engagement : « Agir pour les bonnes raisons, sans compromis. Ls meilleures idées arrivent demain! », est-il convaincu.

Le Clan
restaurantleclan.com
44, Rue des Jardins
Québec, QC G1R 3Z1
(418) 692-0333
Acadie Love fêtera en 2026 ses 10 ans de fierté, une décennie de célébrations, d’inclusion et de rassemblement pour la communauté LGBTQ+ acadienne . Pour souligner ce jalon important, on prépare une édition exceptionnelle du 9 au 11 juillet prochain : trois jours d’activités festives, de performances marquantes et de moments inoubliables qui mettront en lumière toute la richesse et la diversité de la région.
Depuis sa création, Acadie Love s’est donnée pour mission de célébrer la diversité sexuelle et de genre, de créer des espaces sécuritaires et inclusifs et de faire rayonner les voix 2SLGBTQIA+ de Caraquet et de la région. Depuis dix ans, le festival contribue à briser les préjugés, à favoriser le dialogue, ainsi qu’à renforcer le sentiment d’appartenance au sein de la communauté acadienne et au-delà.

« Quand nous avons lancé Acadie Love, nous rêvions d’un espace où chacun pourrait se sentir vu, entendu et fier. Dix ans plus tard, ce rêve continue de grandir avec notre communauté », affirme Kevin J. Haché, président d’Acadie Love.
Les organisateurs dont ravis de révéler dès maintenant les détails de deux activités phares de l’événement : l’artiste musicien et chanteur Jeremy Dutcher proposera une performance exceptionnelle à l’occasion de ce 10ᵉ anniversaire le 11 juillet, et après l’immense succès de l’an dernier, la grande tablée « À table avec fierté » fera également son grand retour le 10 juillet.

Jeremy Dutcher est un porteur de chants bispirituel, compositeur, activiste, ethnomusicologue et chanteur classique formé professionnellement, qui vit à Montréal (Québec). Membre wolastoqiyik de la Première Nation Tobique, au Nouveau-Brunswick, Jeremy a été formé comme ténor d’opéra dans la tradition classique occidentale et a élargi son répertoire pour y inclure le style de chant traditionnel et les chansons de son peuple.

Pour la Grande tablée, en plus d’un cocktail de bienvenue, on vous propose ensuite une planche de charcuteries et des amuse-gueules, suivie d’un souper trois services! La soirée sera animée par des Drag queens qui ajouteront éclat, humour et énergie à l’événement. Un bar payant sera également disponible sur place. Pour terminer en beauté, un DJ fera danser tout le monde!
Les billets pour ces deux activités seront en vente dès le vendredi 5 décembre, 10 h, sur le site Web d’Évencia Billetterie.
Pour suivre le développement de la programmation, consulter le site Web d'acadie Love.

C’est au cœur de Chicoutimi, à la place du Citoyen, que le plus important marché de Noël extérieur du Saguenay-Lac-St-Jean égaye la place chaque année, depuis déjà neuf ans.


Le Marché de Noël européen de Saguenay, c’est un petit village de 32 cabanes typiques en bois, dans un décor illuminé féérique, inspiré des grands marchés européens. Tout est mis en place pour vous faire vivre une expérience unique et magique: sapins illuminés, foyers de bois, chorales, Père Noël et des kiosques invitants, tenus par des artisans et producteurs de la Zone Boréale qui proposent des centaines d’idées cadeaux.

Alors que ce soit pour vous procurer les cafés équitables de Cambio, le miel de sapin D’Au cœur des bois (mon coup de cœur de 2022!), les confitures et chocolats fins aux saveurs boréales de Kao Chocolat, les savoureux saucissons du Bistro D, les fumaisons artisanales du Camp de base de l’Anse-St-Jean ou tous les produits de zone boréale de la coop Bizz, allez-y faire un tour!
Marché de Noel européen de Saguenay
Du 4 au 14 décembre 2025
Séjourner aux Îles de la Madeleine, c’est davantage qu’une escale exotique au milieu du Golfe Saint-Laurent. Tous les intervenants du milieu redoublent d’efforts pour assurer que les visiteurs, autant les nouveaux que ceux qui y reviennent, profitent totalement de leur séjour. Depuis quelques années, la destination des Îles est de plus en plus populaire et les besoins en hébergement sont en forte croissance.
Cela a stimulé deux entrepreneurs qui ont à cœur le développement intelligent et cohérent de l’offre d’hébergement indépendant aux Îles, avec l’engagement et la contribution des commerçants locaux pour compléter l’expérience. C'est dans cet esprit que Maison Mer est né et a développé son offre. L’archipel abrite des adresses aussi inspirantes qu’élégantes et l’on doit s’assurer que chaque détail est pensé pour faire d’un séjour une véritable parenthèse enchantée.
Les initiateurs de ce concept original, le couple Vincent Morel et Jan-Nicolas Vanderveken, sont eux-mêmes les propriétaires de l’hôtel-boutique juché dans les hauteurs de Bassin, sur l’Île du Havre-Aubert, le Petit hôtel de la montagne. Ils sont tombés en amour avec les îles dès leur premier contact. « Nous sommes atterris aux Îles en 2016, et nos cœurs ne sont jamais vraiment repartis. À travers les voyages, les livres et les musées, on s'inspire pour créer des hébergements qui allient design contemporain, raffinement et vie maritime », explique Jan-Nicolas, ajoutant que Vincent venait aux Îles avec ses parents durant sa jeunesse.
Vincent et Jan-Nicolas dans le confort de leur demeure
Depuis leur arrivée, ils ont réalisé deux premiers projets d’hébergement avant celui du Petit hôtel : Les Rochers, une maison d’architecte au design unique, et la Blanche de l'Ouest, une grande maison typique des Îles totalement rénovée, également proposées par Maison Mer.
Pour élargir leur passion, ils se sont associés à d’autres propriétaires d’hébergements similaires pour créer une offre de qualité hôtelière dans le confort d'une maison privée. On y propose une sélection de maisons à louer et d'hôtels aux Îles, où le confort d'une maison rencontre l'élégance des services hôteliers.

Les maisons et hébergements de la collection Maison Mer ne sont pas choisis au hasard; être membre de la collection est un véritable gage de qualité pour les propriétaires de ces lieux uniques, chacun trié sur le volet, pour garantir non seulement du charme et du confort, mais aussi un standard de service et de satisfaction.
Les appellations de chaque lieu, leur location et la description qu’on en fait, contribuent à allumer des étoiles dans les yeux et à fabriquer les rêves des voyageurs qui les consultent. Hôtels-boutiques, maisons d’architectes, résidences typiques, maisons d’exception, il y en a pour tous les goûts et pour tous les besoins et ce, un peu partout sur l’archipel, mais toutes avantageusement situées près des rives, des plages ou de panoramas imprenables.

Trop longtemps dans l’industrie, on a associé le prix à la qualité, mais Jan Nicolas explique avoir découvert que ce n’est pas toujours vrai! « Ce n’est pas parce qu’on paie cher qu’on a automatiquement droit à de la qualité — et c’est précisément pour ça que Maison Mer existe: pour aider les voyageurs à trouver, en toute confiance, les meilleures adresses où vivre pleinement la magie de l’archipel, sans déception ou pépins de vacances ».
Un « petit hôtel » qui en mène large
Installé dans un ancien magasin général, le Petit hôtel de la Montagne domine le paysage et se présente comme un lieu qui se distingue de bien des façons. Il propose quatre chambres de grand confort, chacune pourvue d'une salle de bain privée. L’endroit respire le design recherché et le bon goût dans tous les racoins. L'accès au bâtiment ainsi qu'à chaque chambre se fait en libre-service, grâce à des serrures munies de codes individuels.

De plus, on peut profiter des superbes espaces communs, comprenant au rez-de-chaussée une buanderie et une vaste terrasse. À l'étage, une cuisine ouverte, un salon bibliothèque, et une salle à manger sont à la disposition des clients, créant ainsi un espace idéal pour effectuer du télétravail durant la journée.
Doté d'une terrasse avec vue imprenable, le Petit hôtel de la Montagne propose gratuitement une connexion Wi-Fi dans l'ensemble de ses locaux et un stationnement privé.

Les chambres ont été pensées pour offrir un haut niveau de confort et de raffinement. Les planchers radiants, le contrôle de chauffage et de climatisation individuel et la literie haut de gamme sont quelques détails qui rendront votre séjour exceptionnel. Pour les petites familles, en plus d’offrir des chambres familiales à deux lits, on met à leur disposition un parc pliant, un siège d'appoint et de la vaisselle pour enfants.
En façade, on a accès à un café, boutique et galerie d’art, Maison Papier, qui apporte un cachet original à ces lieux excentrés du circuit touristique principal. Avec sa propriétaire, Maude Jomphe, le couple Vincent et Jan-Nicolas préparent pour 2026, un ambitieux projet d’aménagement d’une partie du sous-sol en une galerie d’art et un espace multifonctions permettant de créer un pôle culturel original. On souhaite y accueillir des artistes en exposition, y tenir également des réunions ou événements d’affaires, lancements et conférences de presses, 5 à 7 corporatifs, et en faire un lieu de rencontres populaire et recherché.

Collection Maison Mer
maisonmer.ca
438 230-3200

Petit hôtel de la Montagne
petithoteldelamontagne.com
2979, ch. de la Montagne
Bassin
Îles de la Madeleine (Québec) G4T 0A4
438 816-9977