Après une première édition pleine de succès en 2023, les organisateurs de La Semaine sensibilisation LGBTQ+ de Fierté Charlevoix ont annoncé la programmation de leur 2e édition. Celle-ci se tiendra du 8 au 19 mai 2024.
Le tout débutera par la soirée d’ouverture se tiendra au Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul le 8 mai, sous le thème « Un océan de diversité ». Un vernissage de l’exposition Collection en couleurs, où les gens pourront admirer des oeuvres de la collection du MACBSP d’artistes LGBTQ + ou en lien avec les réalités de la communauté.
Le président de l'organisme, Louis-Philippe Tremblay, signale aussi la contribution des élus des conseils municipaux des MRC de Charlevoix et de Charlevoix-Est qui sont invités, encore cette année, à la levée du drapeau de la fierté LGBT sur les mats de leurs hôtels-de-ville le vendredi 17 mai.
Parmi les principales activités proposées :
- Le 17 mai, la drag queen Océane, alias Thierry Boily-Simard, originaire de Baie Saint-Paul, proposera un spectacle sous le thème Eleganza avec ses acolytes au restaurant Tony et Charlo.
- Une heure du conte avec Barbada, organisée par la Bibliothèque Laure-Conan de La Malbaie, est également prévue le 11 mai à 13h30.
- Un vernissage est également prévu au Musée de Charlevoix le 16 mai à 17h30. Noctambule Queer night life in Haiti sera le thème abordé.
- Le samedi 18 mai, de 14h à 19h, la Ferme Ambrosia de Saint-Hilarion recevra de nouveau les gens de Fierté Agricole et tous les intéressés à une journée sur la réalité agricole des gens issus de la diversité sexuelle et de la pluralité des genres.
- Enfin, le dimanche 19 mai, entre 11h et 16h, Fierté Charlevoix clôturera ses activités 2024 par une superbe journée en plein air à La Malbaie. Le tout débutera par une marche de solidarité familiale aux abords du fleuve dans une ambiance festive ! Après avoir profité de l’animation sur le site et des contes racontés par Océanne, on termine le tout en émotions avec la douce voix de Safia Nolin en spectacle, à 14h (Lieu à confirmer).
Pour la programmation complète, voir l’image plus bas (cliquer ici pour agrandir
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Les Guides GQ
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À propos de Fierté Charlevoix
Lors du lancement en 2023, les organisateurs présentaient leur événement ainsi.
Un comité organisateur composé de représentant.e.s d’organismes et de personnes LGBTQ+ a été formé au printemps 2022 en vue d’organiser la première semaine de sensibilisation dans Charlevoix. Les membres de ce comité sont soutenus par l’Alliance-Arc-en-Ciel et GRIS-Québec.
La programmation offrira une diversité d’activités éducatives, culturelles et festives adressées à toute la population, mais plus particulièrement aux jeunes. L’organisation de cet événement suscite déjà une très grande mobilisation régionale et les partenaires impliqués visent les objectifs suivants :
• Mobiliser les personnes LGBTQ+ dans Charlevoix et contribuer à briser leur isolement ;
• Créer des activités qui favorisent l’ouverture et le respect ;
• Permettre aux gens de tisser des liens au-delà de leurs différences ;
• Mettre en valeur les comportements inclusifs adoptés par les allié.e.s ;
• Contribuer au « vivre ensemble » et au sentiment d’appartenance.
Fierté Charlevoix
fiertecharlevoix.com
581 998-9226
Parler de gastronomie dans le Mile-End ne peut se faire sans parler de l’héritage juif et est-européen de la cuisine montréalaise. Car le Mile-End est le centre des institutions emblématiques de cet héritage qui comprend le bagel et les sandwichs à la viande fumée ou au saucisson que l’immigration juive nous a apporté de l’Europe de l’Est dont étaient originaires la grande majorité des immigrants juifs du début du XXe siècle. Dans le Mile-End vous trouverez ces temples du bagel montréalais que sont Fairmount Bagel et le Saint-Viateur Bagel. On raconte que, probablement en s’adaptant au goût local, le bagel montréalais est plus sucré et délicat que son cousin new-yorkais. Les amateurs de viande fumée voudront faire la queue et aller goûter le célèbre smoked meat montréalais chez Schwartz, rue St-Laurent, un peu au sud du Mile-End, De retour dans le Mile-End, il faut aller goûter le sandwich au saucisson de Walensky, rue Fairmount.
C’est probablement cette spécialité de bagel et de sandwich qui a fait du Mile-End une destination de prédilection pour les amateurs de brunchs copieux. La tradition a été bien implantée par le resto Beauty’s, avenue du Mont-Royal où le bagel est une spécialité et elle a été mise au goût du jour par des restos comme B & M ou Fabergé, sur Saint-Viateur et Fairmount. Le resto syrien Kazamaza, avenue du Parc, en propose même une version moyen-orientale.
Le caractère multiethnique du quartier se reflète bien sûr dans sa restauration et on peut y trouver d’excellentes tables offrant des spécialités provenant des quatre coins du bassin méditerranéen. Au bistro Barcola, avenue du Parc, vous découvrirez une cuisine authentique du Nord de l’Italie dans un décor intime. La Cuisine d’Izza, rue Bernard, nous fait découvrir la fine cuisine marocaine. L’influence espagnole est bien présente dans la carte de L’Assommoir, un peu plus loin, toujours sur Bernard, qui nous offre en hors d’œuvre avant une soirée animée tapas et ceviches. Rue Van Horne, coin Hutchison, au tout début d’Outremont, le Caffé Della Pace décline le café italien en mode végétarien avec une cuisine santé maison toute en fraicheur. Les prix sont très abordables, l’atmosphère est convivial avec un piano dans un coin et des sofas dans l’autre. Les familles et enfants tout aussi bien que les queers s’y côtoient en paix. Mais l’éventail est bien plus large et pour le découvrir Local Montréal Tours vous propose des circuits gourmands qui vous feront découvrir la richesse et diversité de l’expérience épicurienne du Mile-end.
Du côté d’Outremont, sur la chic rue Laurier ouest, le bistro Chez Lévêque est un incontournable depuis plus de quarante ans. Sur un ton humoristique un tantinet irrévérencieux, le thème religieux y est décliné en référence au patronyme du chef-propriétaire Pierre Lévêque. Cette chic brasserie parisienne avec une touche bien montréalaise n’a pas dérogé du concept qui a fait son succès : bonne bouffe, bon vin et une ambiance branchée mais décontractée. Ses menus économiques de ‘faim de soirée’ attirent les plus jeunes après 21h.
À moins d’une heure de Charlottetown, la célèbre station balnéaire de Cavendish et toute la région vous offre un accès à la mer des plus agréables sur la côte nord de l’Ile-du-Prince-Édouard. Depuis 1937, le Parc national de l'Île-du-Prince-Édouard y a été établi sur 60 kilomètres le long de cette rive du golfe du Saint-Laurent. Le parc national englobe ainsi les meilleures plages de l'Île-du-Prince-Édouard, dont une des plus populaires est la plage de Cavendish.
Cette destination a été rendue populaire par les romans de Lucy Maud Montgomery et son personnage d’Anne… la maison aux pignons verts, des romans traduits dans une quarantaine de langues. La ferme des ‘Pignons verts’ de la famille MacNeill où a grandi l’auteure et qui l’a inspirée pour la création de son personnage d’Anne, a été intégrée au Parc national.
Depuis plusieurs années, un débat académique intense a supputé le caractère lesbien des amours d’Anne avec ses amies au fil des romans. L’auteure, elle, décédée en 1942, avait pour sa part vivement nié tout penchant lesbien.
La région compte quelques adresses homosympas. Le Graham Inn vous offre un hébergement sympa avec piscine intérieure tout près de la mer et en prime le service est bilingue. Les unités d’Around the sea vous permettront de bénéficier de sa vue panoramique à 360 degrés puisque cette bâtisse est en rotation constante, rien pour vous étourdir, mais plutôt pour s’assurer de vous permettre de voir à la fois le lever et le coucher du soleil de vos fenêtres panoramiques.
Les établissements gais, lesbiens et homosympas se sont regroupés dans cette province, la plus petite du Canada, dans une association que vous trouverez facilement en ligne sur le site bilingue
www.gaytourismpei.ca
Saguenay, la plus importante ville de tout l’Est du Québec, offre un large éventail de tables accueillantes.
À La Baie, elles se concentrent autour du Plateau Victoria, près du terminal de croisière. Une adresse branchée, le Bistro-café Summum allie bistronomie et culture et est très courue. Non loin de là, dans l’atmosphère chaleureuse d’une maison centenaire, le restaurant L'Opia propose une cuisine du moment qui combine fraîcheur et audace dans une ambiance accueillante et chaleureuse où les couleurs vives du décor et la musique se mélangent à la vue sur la baie. Tout près du terminal de croisière et jouissant d’une merveilleuse vue sur la baie, le resto-bar Le Pavillon Noir se spécialise en viandes fumées et grillades. Vous pouvez y prendre un verre et accompagner votre 5 à 7 de grignotines, nachos ou calmars frits.
Plusieurs auberges homosympas offrent aussi des services de restauration. Sur les rives du fjord au coeur de La Baie, l’Auberge des 21 propose à son restaurant Le Doyen une fine cuisine régionale actualisée. Depuis 26 ans, cette auberge occupe une place de choix parmi les relais gourmands du Québec. Au gré des arrivages, elle privilégie les produits régionaux, notamment des aliments sauvages méconnus, dont quenouilles, pimbina, chicoutées, violettes sauvages et fleurs de mai pour créer une cuisine actualisée, qui s'inspire des traditions locales et des mets autochtones.
Les auberges nichées sur le bord du fjord offrent aussi d’excellentes tables. Fière de son virage écologique, l’Auberge de la Rivière Saguenay propose une cuisine faisant largement appel à ses propres légumes et fruits, ainsi qu’à des produits équitables. L’Auberge des Battures mise de son côté sur une fine cuisine mettant à l’honneur les produits du terroir. D’inspiration française ponctuée par l’environnement québécois, sa table a été primée lors des grands prix du tourisme québécois. La salle à manger O Batillage offre une vue panoramique sur le fjord.
V
ille universitaire, capitale régionale, Rimouski et sa région comptent un large éventail de bonnes tables pour tous les goûts. Ici, on peut goûter toutes les meilleures saveurs du Bas-Saint-Laurent. Le pittoresque village du Bic, maintenant intégré administrativement à Rimouski, compte parmi les meilleures tables de la région. Un survol des meilleures tables, ne saurait manquer d’inclure Chez Saint-Pierre, l’un des 100 meilleures au Canada. La talentueuse chef-propriétaire Colombe St-Pierre vous reçoit dans une ambiance feutrée qui se prête très bien aux déclarations amoureuses ou simplement à un très bon moment. Le menu dégustation fait l’unanimité et permet de se délecter d’un éventail de produits de la région bien mis en valeur. Légumes, viandes et poissons sont ici travaillés de manière originale. Les accords mets et vins très étudiés sont l’oeuvre d’un sommelier. Obligatoire ici de réserver.
Toujours au Bic, la renommée de l’Auberge du Mange-Grenouille n’est plus à faire. La réputation de sa table n’est pas surfaite. La déco théâtrale de la salle à manger crée une atmosphère unique qui met en valeur ce bâtiment historique. Le chef propose au menu des produits locaux et de saison, apprêtés avec soin. Pour l’accord mets-vins, la carte des vins est très intéressante. La table est renommée et sa réputation n’est pas surfaite. On en profite pour y séjourner au moins une nuit et tomber sous le charme.
Le bistro Les Affamés propose une cuisine familiale, accessible et abordable. Au menu, des mets populaires, des produits locaux et saisonniers préparés de façon originale et inventive. De la poutine au foie gras en passant par les salades repas et poissons frais. L’été, on profite avec plaisir de la terrasse.
Côté terroir, la ferme et gite C'est la Faute des Biquettes abrite une boutique qui propose des spécialités culinaires, dont de la charcuterie artisanale. Quinze espèces d'animaux vivent dans la ferme sur place, notamment des moutons et des lamas. Vous pourrez participer à une visite guidée de la ferme, en saison et sur réservation.
La chocolaterie artisanale Croqu’Érable fabrique un fondant à l’érable selon la tradition ancestrale. Ce fondant se décline en d’autres produits de chocolat à l’érable ou aux fruits des champs et à l’érable, en verres à porto en chocolat, en tablettes et en pièces exclusives. Elle offre aussi des confitures sublimes faites de fruits des champs de la chocolatière.
Chicoutimi est l'un des trois arrondissements de la ville de Saguenay, au centre géographique de son vaste territoire. C’est le plus urbanisé des trois arrondissements et le siège des principales institutions publiques dont l’Université du Québec et l’Hôtel de ville de Saguenay. En langue innue eshko-timiou signifie « jusqu'où c'est profond ». Le vocable autochtone, considéré comme descriptif, désignait déjà un lieu géographique avant toutes tentatives d'établissement. L'endroit constituait, ce qu'il est convenu d'appeler, « la tête de la navigation en eau profonde » sur le Saguenay.
Si chacun des trois arrondissements a son propre centre-ville, le centre-ville de Chicoutimi, autour de la rue Racine, est le plus ancien et le plus urbain. Comme dans tant de petites villes du Québec, la plupart des commerces de détail ont déserté le centre-ville et se sont installé dans les centres commerciaux près des quartiers résidentiels, et les restaurants et bars ont remplacé les anciens commerces sur la rue Racine qui est maintenant le premier pôle de sorties de Chicoutimi.
La ville de Saguenay ne compte plus pour le moment de bar gai depuis la fermeture du Tunnel. Autour de la rue Racine, on trouve parmi les meilleures tables de la ville et plusieurs établissements homosympas. En août, la rue Racine accueille le Festival des Rythmes du Monde, un festival de musique du monde où les artistes se produisent sur les scènes dressées aux deux bouts du tronçon central de la rue commerciale.
À proximité, le musée de la Petite Maison Blanche raconte l’histoire du déluge du Saguenay, une catastrophe naturelle survenue en 1996 et à laquelle cette résidence de 125 ans a survécu alors que le terrain autour d’elle était emporté par les eaux.
La Pulperie de Chicoutimi est un vaste complexe d’animation culturelle et touristique destiné à la préservation et la mise en valeur du patrimoine du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Situés aux abords de la rivière Chicoutimi, les bâtiments qui composent cet ensemble touristique appartenaient autrefois à la Compagnie de Pulpe de Chicoutimi, qui transformait mécaniquement le bois en pâte à papier pour répondre à la demande des marchés européens jusqu’en 1930.
Le Kamouraska prolonge la Côte-du-sud jusque dans le Bas-Saint-Laurent. C’est une enfilade de jolis villages fondés à la fin du XVIIe siècle comme dans le reste de la Côte-du-Sud. Le village de Kamouraska est probablement le plus pittoresque. En plus de son riche patrimoine architectural et historique, Kamouraska émerveille toujours par la beauté, la diversité, l’harmonie et la sérénité de ses paysages. Tout près, des sommets des montagnes à Coton et du Cabouron, on s’émerveille devant un panorama agricole, villageois, maritime et montagneux. Sur la rive sud de l’estuaire du Saint-Laurent, on y bénéficie d’un paysage exceptionnel : filets des pêches à l’anguille ancrés sur l’estran, l’archipel de Kamouraska, et en toile de fond le massif majestueux des Laurentides dans Charlevoix aux couchers de soleils impressionnants.
En plus de ses très belles maisons traditionnelles, ce village tricentenaire offre la visite de son musée et de son centre d’art, des activités culturelles et artistiques. Plusieurs anciennes villas sont devenues des auberges de charme et le village compte plusieurs adresses homosympas. Allez faire un tour à la Villa Thomas Ward, une auberge depuis le XIXe siècle.
Les premiers colons s’établirent à Kamouraska vers 1692. Ravagé lors de la guerre de conquête en 1759, le village est déjà au début du XIXe siècle un centre de villégiature au cœur d’une seigneurie prospère passée aux mains de la famille Taché. Une deuxième paroisse, St-Pascal, est créée au sud. Cette ville voisine, en bordure de l’autoroute 20, est aujourd’hui le chef-lieu de la municipalité régionale de Kamouraska et offre un large éventail de services.
Comme beaucoup de jeunes filles de bonne famille de Québec, la romancière Anne Hébert séjourna dans ce charmant village durant son enfance. Sa mère, descendante de la famille seigneuriale des Taché, lui raconta le terrible drame survenu en 1839 lorsqu’à l’issu d’un triangle amoureux sur fond de mariage malheureux, le jeune seigneur de Kamouraska, Achille Taché, fut assassiné par le Dr George Holmes, l'amant de sa femme, Éléonore d'Estimauville. Celle-ci fut d’abord soupçonnée de complicité, mais finalement relâchée. Le Dr Holmes, lui, avait fui au Vermont et n'a jamais subi de procès. Ce drame lui inspire le roman Kamouraska pour lequel elle reçoit le prix des Libraires de France en 1971 et qui lance pour de bon la carrière de la romancière des deux côtés de l’Atlantique. Cette grande œuvre romanesque est portée au cinéma par Claude Jutra en 1973, sur une trame musicale du compositeur André Gagnon. Elle grave le nom du village dans la mémoire collective des Québécois.
Une résidence victorienne, aujourd'hui appelée Maison du domaine seigneurial Taché, existe toujours à Kamouraska. Elle fut l'un des lieux de tournage du téléroman Cormoran. La résidence a été construite en 1886 là où se trouvait le Manoir Taché du roman d'Anne Hébert, détruit dans un incendie évoqué dans les visions de son personnage romanesque Elisabeth Rolland.
L’île du Havre aux Maisons, bordée de falaises aux couleurs variées, conserve un air champêtre avec ses maisons éparses, multicolores et ses routes sinueuses. C'est sur cette île que se trouve l’aéroport des Îles-de-la-Madeleine et que se pratique la mytiliculture, l’élevage de la moule bleue. On y trouve plusieurs plages dont la spectaculaire plage de la Petite Échouerie, la longue plage de Dune du sud et son sable blanc à l'infini et la coquette plage de la Pointe Basse. On y rencontre plusieurs élevages et on y trouve également une fromagerie et une miellerie.
Parmi les adresses homosympas, Le Domaine du Vieux Couvent est un petit hôtel boutique de 11 chambres qui s’est installé dans l’ancien couvent. Au rez-de-chaussée, son restaurant offre une vue fort agréable sur la mer. Le gite La Butte ronde vous accueille dans une ancienne école où les cinq chambres spacieuses convergent vers une grande aire commune à la fois salle à diner et salon où trône un piano à queue. Non loin, Le 180 degrés est une maison de tourisme tout confort qui vous permet de jouir des iles comme si vous étiez à la maison.
À Old Harry, vous ne voudrez pas manquer de visiter la plage de la Grande Échouerie. Cette plage est l’une des plus belles plages de l’archipel. On y retrouve également plusieurs services : douches, toilettes, tables de pique-nique, filet de volleyball et aire de jeu. Selon certains, cette majestueuse plage offre les eaux les plus chaudes des Îles, tout comme les plages de la Pointe-de-l’Est et de la Pointe-aux-Loups. C’est un endroit de rêve pour pratiquer le kitesurf, un sport qui est de plus en plus populaire dans cet archipel où le vent souffle toujours quelque part. Cette plage constitue la bande littorale de la Réserve nationale de faune de la Pointe-de-l’Est. Immense, on peut marcher cette plage sur toute sa longueur. À la pointe, on peut parfois y apercevoir des phoques qui jouent dans l’eau. Un conseil : cette plage mérite bien son nom. Elle est si profonde, il est conseillé de ne pas enlever vos chaussures quand vous entrez sur le sable pour une chaude journée d’été. L’eau est loin et sur le sable chaud vous vous brûlerez les pieds.
Dans le quartier Sainte-Rose, à Laval, à quelques enjambées de la rivière des Mille-Iles, une vieille maison ancestrale datant de 1834 abrite depuis plus de 40 ans un établissement de restauration. Pour les habitués du coin, c’était le resto La Vieille Histoire qui y logeait, jusqu’à ce que Jean-François Pépin et Mélanie Joannette décident de l’acquérir.
Ainsi, depuis 2017, c’est un vieux rêve que ce couple réalise avec le restaurant Black Forest – Cuisine urbaine. Celui-ci est né d’une idée de partage et de découverte des sens. Textures, goûts et innovation sont en symbiose pour faire vivre ce voyage culinaire urbain.
Question de mieux saisir le contexte qui a précédé cette acquisition, disons que la restauration a fait partie de l’ADN familial depuis au moins trois générations chez les Pépin. Son grand-père et son père ont opéré des restaurants avant lui. Dans les années 2010, il a lui-même joué dans ce milieu, entre autres avec un service de traiteur auprès d’un opérateur de services aériens à Mirabel pendant quatre ans. Puis, le couple s’est mis à la recherche d’un restaurant et c’est sur le boulevard Ste-Rose à Laval que l’occasion s’est présentée.
Jean-François et Mélanie ont choisi dès le départ de modifier le style et le menu de leur restaurant, tranchant donc totalement avec la tradition des lieux. Toutefois, ils ont choisi de conserver l’ambiance chaleureuse qui rappelle celle des petites chaumières d’antan, une ambiance qu’on ressent dès notre entrée. Le décor est rajeuni par des éléments décoratifs modernes au charme discret. On y est littéralement plongé dans le charme des chaudes couleurs, des boiseries et de l’aménagement qui favorise le confort et les discussions entre convives.
C’est toutefois avec leur choix de menu changeant mensuellement et selon les saisons que l’imaginaire créatif des chefs parvient à vous mettre l’eau à la bouche. À travers quelque 800 tapas gastronomiques cuisinés depuis 2017, l’équipe du Black Forest nous propose de plonger dans son univers épicurien. Jean-François Pépin, qui dirige les cuisines avec ses adjoints, favorise les produits locaux et du terroir québécois. Les produits sont travaillés et transformés dans une vision de cuisine du monde aux nombreuses influences.
Une des spécialités de ce restaurant, qui emploie 19 personnes, c’est aussi les accords mets et vins. Le propriétaire est un fin sommelier. Les vins sont en fait une vraie passion pour lui. On y propose des vins d’importation privée de même que des produits de qualité provenant de la SAQ pour compléter ses accords avec son menu des plats en dégustation.
Ce menu, il est conçu de plats à partager à la carte. Encore mieux, c’est d’opter pour le menu dégustation. Il est toujours composé d’une bouchée du jour pour débuter, puis ensuite de 10 plats du mois. Là-dessus, il y a toujours deux crus (genre ceviche et tartare de crudités), deux pâtes maison, deux protéines, deux poissons et fruits de mer ainsi que deux plats végétariens. On peut compléter le tout avec un dessert original.
Chaque plat est divisé en quatre portions, mais il peut être adapté pour 3 ou pour 6. En plus des vins, un grand choix de bières de microbrasseries est également offert, ainsi que de délicieux cocktails pour accompagner le repas.
À noter que Black Forest offre des mets à emporter, un service qui fut fort populaire durant la pandémie de COVID 19. On peut y recevoir des groupes dans une salle prévue à cet effet. On peut choisir de s’installer dans la salle à manger à l’ambiance plus discrète, ou dans la section du bar près des cuisines. En été, la terrasse installée sur la galerie avant est très populaire.
Comme si cela ne suffisait pas, le couple restaurateur a choisi d’étendre son expérience culinaire dans un second Black Forest, à Terrebonne, depuis 2022. On y propose une signature, une ambiance, un décor et un menu originaux qui attire une clientèle locale et régionale.
Le Black Forest – Cuisine urbaine
leblackforest.ca
284, boul. Sainte-Rose
Laval (Québec) H7L 1M3
(450) 937-1200
Le Comité exécutif de la Ville de Montréal a entériné la nomination des 17 personnes qui recevront l'insigne de l'Ordre de Montréal, le 16 mai prochain. L'Ordre de Montréal est la plus haute distinction montréalaise et rend hommage aux Montréalaises et aux Montréalais qui s'engagent pour la communauté et qui contribuent de manière remarquable au développement et au rayonnement de la métropole.
« Je suis très fière d'annoncer les récipiendaires 2024 de l'Ordre de Montréal. Une fois de plus, je souhaite rendre hommage à ces 17 Montréalaises et Montréalais, qui ont en commun une remarquable détermination à bâtir un monde meilleur. Je vous invite à découvrir ces personnes de cœur et de valeur, issues de milieux et d'origines diversifiés, qui se démarquent dans des domaines d'activités variés. Chacune et chacun d'entre eux favorise le bien-être de nos communautés, incarne une source d'inspiration pour nos jeunes et génère un impact positif dans la société. Leur engagement et leurs actions contribuent à façonner une métropole plus forte, plus solidaire et plus inclusive », a déclaré la mairesse de Montréal, Valérie Plante.
Les récipiendaires 2024
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Le titre d'officière ou d'officier sera remis entre autres à deux personnalités de la communauté LGBT reconnus pour leur engagement de longue date auprès de cette communauté :
- Line Chamberland, sociologue, professeure à l'Université du Québec à Montréal et fondatrice de la Chaire de recherche sur l'homophobie ;
- Luc Provost, créateur du populaire personnage de Mado Lamotte, pilier haut en couleur de la scène montréalaise et entrepreneur.
Les autres récipiendaires de ce titre sont :
- Marguerite Mendell, cofondatrice de l'Institut Karl Polanyi et de l'Association communautaire d'emprunt de Montréal, professeure à l'Université Concordia;
- Norman Steinberg, philanthrope, vice-président de BFL Canada;
- J. Sebastian van Berkom, philanthrope, fondateur et associé, président du conseil et chef de la direction de Van Berkom gestion mondiale d'actifs;
- Dorothy Williams, historienne, spécialiste de l'histoire des Noirs au Canada, auteure de The Road to Now : A History of Blacks in Montreal.
Pour leur part, les personnes suivantes recevront le titre de chevalière ou de chevalier de l'Ordre :
- Louise Bessette, pianiste concertiste et professeure au Conservatoire de musique de Montréal;
- Isabelle Boissé, directrice générale de l'Institut Pacifique;
- Mario Fortin, ex-directeur général des cinémas Beaubien, du Parc et du Musée;
- Véronique Lacroix, cheffe d'orchestre et fondatrice de l'Ensemble contemporain de Montréal;
- Anne-Marie Mes-Masson, chercheuse et professeure au Département de médecine de l'Université de Montréal;
- Menka Nagrani, chorégraphe, metteure en scène et artiste multidisciplinaire, directrice fondatrice des Productions des pieds des mains;
- Nancy Neamtan, cofondatrice et ex-présidente du Chantier de l'économie sociale;
- Gabor Szilasi, photographe de la vie Montréalaise, mentor et professeur.
À propos de l'Ordre de Montréal
À l'occasion du 375e anniversaire de Montréal et en complément des symboles municipaux que sont les armoiries, adoptées en 1833, et le drapeau, en 1938, l'Ordre de Montréal a été créé au titre de la plus haute distinction honorifique décernée par la Ville. Cette distinction honorifique vise à reconnaître les mérites de Montréalaises et de Montréalais s'étant distingués par :
- L'éminence de leur contribution au développement de la ville;
- La notoriété de leur apport à son rayonnement local et international;
- Le caractère exemplaire de leur engagement au service de leurs concitoyennes et de leurs concitoyens;
- La qualité remarquable de leurs réalisations professionnelles.
Pour plus de détails, visitez le site web Ordre de Montréal