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On peut dire que l’année commence bien pour le vignoble du Domaine de Lavoie!  Cette année encore le Domaine de Lavoie se voit récompenser pour son travail, qu’il ne cesse d’être amélioré! Il récolte une moisson hâtive soit celle de six médailles au prestigieux Concours « Finger Lakes International Wine Competition 2016».

Le Concours «Finger Lakes International Wine Competition 2016»  comptait 3824 produits en compétition.  De ce nombre, six produits présentés par le Domaine de Lavoie ce sont vus décorer.  En effet, des médailles d’argents on été décerné à Cidre de glace (Médaille Argent dernier Mondiaux Cidre), le Rouge du Domaine de Lavoie, le Poiré Mousseux (nouveau produits du Domaine) et le Hugues.  Pour sa part, Bulles d’Automne a récolté la médaille OR.  De plus, à la plus grande surprise du Domaine de Lavoie, Vendanges Tardives, qui avait déjà été honoré d’un Grand OR  à la fête des vins du Québec a été décoré cette fois-ci d’un Double Or !  «C’est une belle fierté, nous en sommes bien heureux et nous allons continuer à travailler fort»  a souligné M. Francis Lavoie, propriétaire du Domaine de Lavoie.

Le Domaine de Lavoie a le vent dans les voiles depuis quelques années et promet de belles surprises pour l’année 2016, qui commence d’une belle façon!

Le vignoble du Domaine de Lavoie vous rappelle qu’il est ouvert 7 jours sur 7.

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Hors les murs en Haute-Ville, dans le faubourg Saint-Jean-Baptiste ou dans Montcalm, c’est le long de la rue Saint-Jean, mais surtout de la Grande Allée qui jouxte la colline parlementaire qu’on retrouve les tables à la mode de ces pôles de sorties très prisés au cœur de la ville. Sur Saint-Jean qui prolonge cette artère du Vieux-Québec dans le faubourg Saint-Jean-Baptiste au-delà de la Place d’Youville, le Veau d’Or, qui offre sa cuisine italienne depuis des décennies, est un rendez-vous des assidus du complexe Le Drague, au coin de la rue Saint-Augustin. À l’autre bout de la rue Saint-Jean, les amateurs d’hambourgeois se régalent Chez Victor, un resto spécialisé en burgers qui a fait des petits aux quatre coins de la capitale. Plus loin, quand la rue Saint-Jean devient le chemin Ste-Foy, La Girolle met la cuisine française à l’honneur.

Du côté de la Grande Allée, ceux et celles qui préfèrent l’atmosphère des grands clubs de la capitale, voudront aller faire un tour au Savini. L’été, la terrasse vous permettra d’apprécier sa fine cuisine italienne et les meilleurs crus de sa vaste cave tout en profitant de l’animation de cette belle avenue. À quelques pas, l’Atelier offre lui sur quatre étages une belle sélection de tartares et de cocktails, ainsi qu’une chouette terrasse l’été.

Du côté du Grand Théâtre et des rues René-Lévesque et Cartier à proximité, le 47e Parallèle offre une cuisine gastronomique avec une terrasse tranquille l’été, rue St-Amable. Idéal pour un bon repas avant ou après un spectacle au Grand Théâtre. Rue René-Lévesque, La Trattoria La Scala et La Piccola offrent une fine cuisine italienne et un bar à vin. La fin de semaine, un pianiste accompagne vos repas. Sur l’avenue Cartier, le Café Krieghoff est très apprécié.

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Événement précurseur dans le domaine des arts visuels, Montréal en Arts soulignera sa 17e édition du 29 juin au 3 juillet 2016 et regroupera 170 artistes au total pour célébrer les arts visuels

dans la rue. Sur cinq jours, 110 artistes professionnels et émergents  issus des arts visuels toutes disciplines confondues présenteront leurs oeuvres lors de la désormais célèbre expo-vente de la rue Sainte-Catherine. Parmi les gagnants des prix décernés en 2015, les artistes Melsa MONTAGNE, Etienne MARTIN ou Zoltan VEEVAETE participeront à l’édition.

Les nouveautés 2016

Les festivaliers auront la possibilité d’être au coeur de la démarche créative en prenant part aux nombreux ateliers participatifs proposés. En clin d’oeil au 1er juillet, jour de déménagement au Québec, le projet Ça déménage permettra à quelques chanceux de voir leurs meubles décorés sur place. Autre nouveauté, un concept de boxe picturale spécialement conçu pour l’occasion permettra au public de voter pour la meilleure oeuvre lors de matchs endiablés confrontant les artistes.

Les emblèmes du festival

Quelques projets phares feront leur retour cette année. Suite au succès du projet Amène ton char, Jason BOTKIN et son collectif En Masse reviendront décorer neuf véhicules. Le festival réitère également la réalisation en direct de trois Totems urbains, structures de 12 pieds de haut sur lesquelles viendront peindre les artistes Gene PENDON, WAXHEAD et Cheryl VOISINE. Les enfants ne seront pas en reste avec le retour des ateliers Ma Première Exposition mais aussi du concept Ma Première Galerie d’art Québecor qui leur donnera la possibilité d’acquérir leur toute première oeuvre d’art !

Ceci n’est qu’un aperçu de l’édition 2016 qui promet bien d’autres agitations  urbaines à venir...

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À proximité de Sherbrooke et Magog, il est considéré comme l'un des dix plus beaux lacs du Québec. C’est un joyau de la région. Le lac Massawippi qui signifie en abénaquis « le grand lac profond » a une superficie de 18,7 km carré et un périmètre de 38 km. C'est un paradis pour la pêche sportive. Salmonidés, achigans, perchaudes et brochets y abondent. À l'automne, en octobre et novembre, le lac est une halte incontournable pour des milliers d'oiseaux migrateurs : outardes, oies blanches, grands hérons et canards peuvent y être observés. Les boisés qui l'entourent regorgent de cerfs de Virginie, d'orignaux, de dindons sauvages et de castors. Avec un peu de chance on peut même y observer des tortues géantes.

Reconnu comme l’un des plus beaux villages du Québec, North Hatley a été fondé en 1897. À la pointe nord du lac Massawippi, le village s'est développé comme un amphithéâtre naturel qu’on a voulu protéger en décrétant une partie du village « Site du patrimoine » en 1986. Le charme des lieux a attiré, dès la fin du XIXe siècle, de riches touristes américains qui en ont fait un haut-lieu de la villégiature québécoise. Avec les années, plusieurs résidences, somptueuses et centenaires, se sont transformés pour devenir de charmantes auberges, des gîtes touristiques, des galeries d’art ou des boutiques. Plusieurs restaurants vous mettent l'eau à la bouche dont la table réputée du Manoir Hovey Relais & Châteaux. Les activités en plein air ne sont pas en reste avec la piste cyclable qui arrive au cœur du village près du parc Dreamland, propice à la farniente et aux concerts improvisés, et le centre d'équitation à la sortie du village.

À l’autre bout du lac, le toponyme d’Ayer’s Cliff rappelle la falaise qui domine la rive sud du lac Massawippi. Dès la fin du XVIIIe siècle, un petit hôtel de diligences accueillait les voyageurs en provenance des États-Unis. Cette tradition d'hospitalité se poursuit encore aujourd'hui grâce aux lieux d'hébergement touristique aux abords du lac. Étape du Chemin des Cantons, Ayer's Cliff a conservé son lustre anglo-saxon grâce à ses résidences d'antan, à son charmant kiosque de musique et au site de l'exposition où se tient un marché public tous les samedis d'été. La piste cyclable Sentier nature Tomifobia longe la rivière du même nom jusqu'à Stanstead et une descente de bateau permet d'accéder facilement au lac.

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Yves Desgagnés fait partie de ces charlevoisiens bien connus que le Musée de Charlevoix à La Malbaie met à l’honneur. Acteur, metteur en scène, réalisateur et auteur, Yves Desgagnés est devenu, au fil des ans, un des créateurs les plus prolifiques du milieu artistique québécois.

Figure connue du grand public, il a été l'interprète principal de plusieurs séries télévisées dont L'Héritage, Montréal PQ, Les Machos et Le bleu du ciel. Au cinéma, il est apparu au générique d'une quinzaine de films dont Les Années de rêves de Jean- Claude Labrecque, L'Homme renversé d'Yves Dion et Les Invasions barbares de Denys Arcand.

Avec plus de soixante-dix mises en scène à son actif, il a marqué le monde du théâtre par ses lectures audacieuses des auteurs comme Shakespeare, Molière, Tchekhov, Arthur Miller ou Gorki. Il a aussi signé les mises en scène d'une trentaine de créations d'auteurs québécois, notamment Michel Marc Bouchard, René Gingras et Michelle Allen, ainsi que de ses propres textes comme Le Nombril du monde ou encore Je ne t'aime pas et Les Nouilles, écrit en collaboration avec Louise Roy. Il a réalisé pour le cinéma Idole instantanée et Roméo et Juliette.

En 2013-2014, Yves Desgagnés a aussi agi comme conseiller en communication publique pour la députée de Charlevoix d’alors, la seule femme à avoir accédé au poste de première ministre du Québec, Pauline Marois.

Baie-St-Paul

À l’est de Baie-Saint-Paul, Les Éboulements offre un paysage d’une saisissante beauté avec une vue grandiose sur le fleuve et l’Isle-aux-Coudres, là juste en face, au pied de la montagne. Terre tourmentée, s'il en est, le nom des Éboulements rappelle le tremblement de terre de 1663, où un important glissement de terrain se produisit du plateau montagneux vers le fleuve, où se localise aujourd’hui Saint-Joseph-de-la-Rive. C’est également dans cette municipalité que se trouve le point d’impact de la météorite qui frappa Charlevoix, il y a 360 millions d’années, délimitant un cratère nettement visible dans les secteurs périphériques et que l’on identifie comme étant l’astroblème de Charlevoix. Les Éboulements est riche également au plan historique par la présence du manoir seigneurial des Éboulements construit à la fin du XVIIIe siècle.

C’est à partir du belvédère des Éboulements, aménagé en haut de la grande côte qu’on devine la présence de Saint-Joseph-de-la-Rive en apercevant son quai, point de départ du traversier qui se rend à l’Isle-aux-Coudres. La descente vers le village offre un panorama spectaculaire : les montagnes, le fleuve, sa navigation et son île. Au bas de la côte, Saint-Joseph-de-la-Rive s’étire entre la montagne et le fleuve, dans une harmonie architecturale qui lui confère un charme indéniable. Le jeu des marées, l’odeur du fleuve et le rythme de la nature contribuent à son grand cachet

Pied-à-terre central pour rayonner dans tout Charlevoix, plusieurs lieux d’hébergement et de restauration perpétuent la vocation touristique qui caractérise Saint-Joseph-de-la-Rive depuis le début du 20e siècle : vous serez comblés par les soins et les attentions de vos hôtes.

À Cap-aux-Oies, au creux d’une petite baie, c’est un tout autre paysage de nature qui vous éblouira. Cette plage baignée d’eau salée est visitée par des marées qui laissent des bassins peu profonds vite réchauffés par le soleil. Le long du kilomètre de plage naturiste, les adeptes du nu sont visibles de loin par les textiles près du terrain de stationnement, mais personne ne s’en plaint. Cet endroit a une tradition naturiste depuis au moins vingt ans.

Avant d’arriver à La Malbaie, Saint-Irénée se démarque par la beauté de sa plage, probablement l’une des plus belles de la région. L’architecture de ce village se démarque par la cohabitation de bâtiments plutôt modestes à ceux de villas plus cossues issues des villégiateurs canadiens-français ayant côtoyé les lieux.

C’est au Domaine Forget, ancienne propriété du député fédéral Rodolphe Forget que se déroule, chaque été, le Festival international de musique, où plus d’une trentaine de concerts y sont présentés. D’une acoustique hors du commun, la salle Françoys-Bernier, a été spécialement conçue pour la musique.

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À seulement 50 kilomètres de Montréal, aux confins de la Montérégie et des Cantons del’Est, St-Paul-d’Abbotsford offre une occasion de sortie des plus épicurienne. En plus des producteurs de tout type, une virée autour du mont Yamaska vous permet de découvrir quatre vignobles et un large éventail de vins, de cidres et de mistelles.

Sur la 112, le vignoble et cidrerie Côteau St-Paul, sur le versant sud du mont Yamaska, produit un large éventail de vins blancs, rosés et rouges, mais aussi des vins fortifiés de type porto. Les Sao Paulo vous feront craquer et la mistelle de cerise se laisse savourer. Les vins de glace rouges ou blancs sont sucrés légèrement, bien sirupeux. Vous les découvrirez dans la boutique au décor médiéval. À partir de la mi-août, vous pouvez y faire l’auto-cueillette de raisin de table, une expérience assez unique au Québec.

Un peu plus loin en empruntant le Grand Rang Saint-Charles, le Domaine Le Grand Saint-Charles, vignoble et cidrerie bénéficie non seulement de la protection naturelle de la montagne contre les vents froids hivernaux, mais aussi des particularités des sols sablonneux et graveleux de la base des Montérégiennes, amenant ainsi un drainage naturel propice à la culture des vignes et des pommiers. Avec les cépages St-Pépin, Frontenac gris et Vidal, le Domaine s’oriente naturellement vers la production de vins blancs de grande qualité en respectant et en utilisant les particularités du climat québécois, ainsi que de cidres fins.

En faisant le tour de la montagne, vous reviendrez par le Rang de la Montagne et vous vous arrêterez aux Artisans du Terroir, vignoble et confiturerie. La boutique, la terrasse avec vue sur le vignoble vous invitent à déguster ses vins blanc, rouge , rosé, apéritif, de glace et d’hiver au chocolat et ses cidres de glace bien sûr, mais aussi ses confitures aussi surprenantes que variées, des compotes, des pommettes dans le sirop ou des rondelles de pommes séchées. Les becs sucrés ne sauront résister aux tartes ni aux gaufres, encore moins à la belle sélection de chocolats pour rehausser les saveurs de leur expérience.

Plus loin sur le rang, en terminant par Les Petits Cailloux, profitez-en pour vous offrir un pique-nique avec vue imprenable qu’offre ce vignoble à flanc de montagne. Les entrelacs à perte de vue sillonnent le terrain pentu pour ouvrir sur la plaine à l’horizon. Un jardin d’eau, fleuri et cerné de grosses pierres, accueille un jet d’eau qui descend en cascade à côté des tables de pique-nique. Il est possible de se procurer sur place fromages et charcuteries pour accompagner la dégustation des vins blanc, rosé, rouge, de glace ou fortifié. Un coup de cœur, le Sirroco, un vin fortifié de style porto aromatisé à l’érable.

Plaisir-Gourmand

Cette importante station de villégiature qu’est Magog compte un large éventail de bonnes tables. Au cœur de Magog, sur la rue Principale, le visiteur trouvera toute une variété de bonnes tables dont plusieurs homosympas. Magog est probablement l’un des petites villes de villégiature comptant le plus de commerces tenus par des gais et lesbiennes. La Table Alain Roger est très appréciée avec ses spécialités de moules, steaks frites et cuisine française entièrement sans gluten. Un peu plus loin, Buon Gusto vous fait redécouvrir les meilleures recettes de la cuisine italienne avec en prime vue sur la marina. La Maison de Ville Bed & Bistro vous offre une cuisine du marché aux saveurs du terroir dans l’intimité d’un gite.

À Orford, le complexe hôtel et spa Estrimont vous propose Pierre de feu, l’expérience de la cuisson de grillades et fruits de mer sur pierre volcanique. Savourez le filet de bœuf, les pétoncles géants ou même la queue de homard. La cuisson est sans matières grasses ajoutées. La cuisine du bistro de l’hôtel est simple, mais très créative. Accompagnez votre cocktail préféré de pétoncles pop-corn, d’un tartare de dualité de saumon bio-équitable des maritimes ou bien d’un trio de mini-burgers de bison.

Pour compléter votre expérience gastronomique, il faut découvrir l’univers champenois du vignoble Cep d’Argent. Vous découvrirez les secrets de la célèbre méthode d’élaboration des vins effervescents dont la famille Scieur détient les secrets depuis plus de six générations. L'exaltation des sens ne saurait être totale sans une dégustation des produits du vignoble qui permettent d’explorer tout un monde d’arômes et de saveur. Prolongez le plaisir en pique-niquant à une station panoramique et en parcourant ses sentiers viticoles et visitez la boutique qui regorge de produits du terroir.

bRUCE hORLIN 
La rédaction a appris ce matin le décès de Bruce Horlin, figure légendaire et pionnier du Village depuis plus de 30 ans. Dans les années 1980, Bruce Horlin à son retour de New York où il avait vécu dans Greenwich Village, alors le cœur de la vie gaie de la métropole américaine, avait ouvert le bar KOX, sur la rue Montcalm. Impressionné par l’existence d’une zone pour les queers et la contreculture, il s’est impliqué dans le développement d’un tel quartier à Montréal dans ce quartier en déclin qu’était l’ancien Faubourg Québec. Il y ouvre alors à l’image des bars tendance new-yorkais le KOX, un bar ‘underground, sans néon flashy à l’extérieur, avec une équipe chaleureuse et des bons prix, un bar qui puisse contribuer à la communauté’ comme il le définissait. En 1991, face au succès de ce nouveau bar, il le déménage dans l’ancienne succursale postale C, au coin de Ste-Catherine et Plessis, alors le Théâtre Félix-Leclerc. C’est le début d’une nouvelle ère avec l’ouverture du premier complexe de bars pour gais et lesbiennes dans le Village. Le nouveau KOX est cependant devenu victime de son propre succès. Bruce Horlin s’en désengage. ‘’Le K.O.X a décliné quand il n’était plus question que de l’argent roi, quand la bonne énergie s’était échappée. Les propriétaires de bars ne font plus de grandes fêtes parce qu’ils n’y croient plus. J’ai dépensé mon argent et fait de la publicité dans de nombreuses publications gaies jusqu’aux États-Unis. Pour investir ainsi, vous devez y croire.’’ Expliquait-il au magazine RG en 2011. Depuis quelques années, Bruce Horlin expliquait largement par le contingentement des permis de bars le déclin du Village. Selon lui, les détenteurs de permis étaient assis sur leurs permis, un monopole de facto que leur confère le contingentement des permis de bar. Il souhaitait aussi que la Ville clarifie de façon définitive le plan d’aménagement urbain de façon à reconnaître le quartier comme un pôle de vie nocturne. Après l’aventure du KOX, Bruce Horlin a continué pendant plusieurs années à œuvrer dans la vie nocturne du Village. Il ne travaillait plus depuis trois ans, aux prises qu’il était avec plusieurs problèmes de santé.

Voir aussi cette entrevue avec Bruce Horlin. http://www.etre.net/bruce-horlin-une-autre-idee-du-nightlife/

Les incontournables rendez-vous dominicaux de l'été montréalais sont de retour!
Piknic Électronik dévoile sa programmation de la saison 2016
Montréal, le 10 mai 2016 - Signe officiel du début de l'été pour des milliers de Montréalais qui l'attendent fébrilement, Piknic Électronik® dévoile aujourd'hui la programmation de sa 14e édition. Parce que les beaux moments se savourent en bonne compagnie, tout le monde est convié, tous les dimanches de l'été, à venir danser sous le Calder du parc Jean-Drapeau, du 22 mai au 2 octobre.
 
Des têtes d'affiche internationales tout au long de la saison
Piknic se fait toujours un point d'honneur de convier à Montréal des artistes de renommée internationale et cette 14e édition le confirme avec une liste d'invités venus des quatre coins du monde pour fêter avec nous l'été 2016. Le traditionnel double Piknic d'ouverture lance les festivités le dimanche 22 mai avec l'innovateur bulgare KiNK (BG) qui vient livrer une performance live de house et techno à la scène Solotech. Dès le lendemain, le lundi 23 mai, c'est Four Tet (GB) qui fera vibrer le Calder avec une combinaison éclectique alliant bass et broken beat qui a remodelé la dance music britannique. On termine le mois en beauté (29 mai) avec de la pure techno berlinoise servie par le résident du Berghain Len Faki (DE). L'ambiance monte d'un cran en juin alors que MUTEK se joint à la fête (5 juin) et s'empare des deux scènes avec, entre autres, le légendaire Josh Wink (US). À peine le temps de souffler que dès la semaine suivante arrive la Française Chloé (FR) du label Kill The DJ Records (12 juin). Et c'est avec plaisir que nous annonçons le retour de Crew Love le 26 juin sur la scène principale, avec les grands explorateurs des profondeurs de la dance music américaine : Soul Clap (US) et Wolf + Lamb (US).
 
Lena Willikens (DE) et LOUISAHHH (US) se préparent à faire du 3 juillet une journée de house crue et innovante et de techno bondissante. Le 10 juillet, c'est l'Allemande tINI's (DE) qui fait danser Montréal de ses planantes vibrations inspirées d'Ibiza. Le mois se termine le 24 par la traditionnelle collaboration avec le MEG qui occupe les deux scènes avec, entre autres, le jeune mais néanmoins expérimenté Huxley (GB) et sa house « made in UK ». Les mois d'août et septembre comptent aussi des dignitaires étrangers, et non les moindres, à commencer par l'unique San Proper (NL) de Rush Hour qui nous fera goûter aux saveurs d'Amsterdam (21 août), suivi de près par le Suisse Deetron (CH) et sa vaste sélection techno (28 août). La fête se poursuit de plus belle avec des précurseurs des nouvelles tendances de la house, le Britannique George Fitzgerald (GB) et l'Irlandais Bicep (IE), présentés par nos amis de NEON le 5 septembre. Avec le passage attendu de la légende anglaise du mouvement rave DJ Harvey (GB) (18 septembre) et encore bien d'autres noms à dévoiler, les Pikniqueurs auront l'embarras du choix parmi tant d'artistes internationaux pour cette 14e saison à savourer jusqu'à la dernière note.
 
Saveurs et couleurs locales
Piknic mise depuis sa création sur le talent d'ici. La vitrine qu'il lui offre nous réserve souvent certains des plus éclatants moments et plus belles surprises de l'été. En cette 14e saison, les collectifs locaux Anoma Records, Awsum Kulture, DJ Luv's Records, Moto Made, Samouraïs des Jungles Urbaines et Trash Family feront rayonner une foule d'artistes exclusivement québécois alors que 8Day, Multi Culti et Raw Moments ajouteront un zeste exotique au cocktail avec RULS (MX), Peter Power (IE) et Cinthie (DE).
 
En outre, cette année, deux journées offrent un programme 100% local dont celle du 19 juin où le label Eresys, véritable institution des tendances minimales, fêtera ses 10 ans avec de savantes sélections deep sous le Calder, alors que Roux Soundsystem roulera en mode jackin' du côté de la scène Vidéotron Mobile. Et bien sûr, Piknic ne serait jamais le même sans la seule et unique Misstress Barbara, grande favorite du public dont le classique rendez-vous de la fête du Travail est toujours un moment fort de la saison (4 septembre). Avec un terroir si riche à partager, Piknic prouve une fois de plus que le talent d'ici ne craint aucune comparaison.
Le retour des Piknic gratuits!
Fort d'un succès immédiat l'été dernier, Piknic reviendra faire danser les foules pour une série de trois soirées gratuites aux Jardins Gamelin, les jeudis 16 juin, 28 juillet et 25 août. De même, la collaboration avec les Week-ends du monde offrira encore cet été deux samedis gratuits au site du parc Jean-Drapeau, les 9 et 16 juillet. Restez à l'affût pour connaître la programmation de ces événements spéciaux.
 
Et ce n'est pas tout! Attendez-vous à d'autres belles surprises pour septembre et pour la grande finale du 2 octobre. Piknic vous réserve encore quelques secrets pour illuminer vos dimanches d'été. À très bientôt sous le Calder!
Les incontournables rendez-vous dominicaux de l'été montréalais sont de retour!
Piknic Électronik dévoile sa programmation de la saison 2016
Montréal, le 10 mai 2016 - Signe officiel du début de l'été pour des milliers de Montréalais qui l'attendent fébrilement, Piknic Électronik® dévoile aujourd'hui la programmation de sa 14e édition. Parce que les beaux moments se savourent en bonne compagnie, tout le monde est convié, tous les dimanches de l'été, à venir danser sous le Calder du parc Jean-Drapeau, du 22 mai au 2 octobre.
 
Des têtes d'affiche internationales tout au long de la saison
Piknic se fait toujours un point d'honneur de convier à Montréal des artistes de renommée internationale et cette 14e édition le confirme avec une liste d'invités venus des quatre coins du monde pour fêter avec nous l'été 2016. Le traditionnel double Piknic d'ouverture lance les festivités le dimanche 22 mai avec l'innovateur bulgare KiNK (BG) qui vient livrer une performance live de house et techno à la scène Solotech. Dès le lendemain, le lundi 23 mai, c'est Four Tet (GB) qui fera vibrer le Calder avec une combinaison éclectique alliant bass et broken beat qui a remodelé la dance music britannique. On termine le mois en beauté (29 mai) avec de la pure techno berlinoise servie par le résident du Berghain Len Faki (DE). L'ambiance monte d'un cran en juin alors que MUTEK se joint à la fête (5 juin) et s'empare des deux scènes avec, entre autres, le légendaire Josh Wink (US). À peine le temps de souffler que dès la semaine suivante arrive la Française Chloé (FR) du label Kill The DJ Records (12 juin). Et c'est avec plaisir que nous annonçons le retour de Crew Love le 26 juin sur la scène principale, avec les grands explorateurs des profondeurs de la dance music américaine : Soul Clap (US) et Wolf + Lamb (US).
 
Lena Willikens (DE) et LOUISAHHH (US) se préparent à faire du 3 juillet une journée de house crue et innovante et de techno bondissante. Le 10 juillet, c'est l'Allemande tINI's (DE) qui fait danser Montréal de ses planantes vibrations inspirées d'Ibiza. Le mois se termine le 24 par la traditionnelle collaboration avec le MEG qui occupe les deux scènes avec, entre autres, le jeune mais néanmoins expérimenté Huxley (GB) et sa house « made in UK ». Les mois d'août et septembre comptent aussi des dignitaires étrangers, et non les moindres, à commencer par l'unique San Proper (NL) de Rush Hour qui nous fera goûter aux saveurs d'Amsterdam (21 août), suivi de près par le Suisse Deetron (CH) et sa vaste sélection techno (28 août). La fête se poursuit de plus belle avec des précurseurs des nouvelles tendances de la house, le Britannique George Fitzgerald (GB) et l'Irlandais Bicep (IE), présentés par nos amis de NEON le 5 septembre. Avec le passage attendu de la légende anglaise du mouvement rave DJ Harvey (GB) (18 septembre) et encore bien d'autres noms à dévoiler, les Pikniqueurs auront l'embarras du choix parmi tant d'artistes internationaux pour cette 14e saison à savourer jusqu'à la dernière note.
 
Saveurs et couleurs locales
Piknic mise depuis sa création sur le talent d'ici. La vitrine qu'il lui offre nous réserve souvent certains des plus éclatants moments et plus belles surprises de l'été. En cette 14e saison, les collectifs locaux Anoma Records, Awsum Kulture, DJ Luv's Records, Moto Made, Samouraïs des Jungles Urbaines et Trash Family feront rayonner une foule d'artistes exclusivement québécois alors que 8Day, Multi Culti et Raw Moments ajouteront un zeste exotique au cocktail avec RULS (MX), Peter Power (IE) et Cinthie (DE).
 
En outre, cette année, deux journées offrent un programme 100% local dont celle du 19 juin où le label Eresys, véritable institution des tendances minimales, fêtera ses 10 ans avec de savantes sélections deep sous le Calder, alors que Roux Soundsystem roulera en mode jackin' du côté de la scène Vidéotron Mobile. Et bien sûr, Piknic ne serait jamais le même sans la seule et unique Misstress Barbara, grande favorite du public dont le classique rendez-vous de la fête du Travail est toujours un moment fort de la saison (4 septembre). Avec un terroir si riche à partager, Piknic prouve une fois de plus que le talent d'ici ne craint aucune comparaison.
Le retour des Piknic gratuits!
Fort d'un succès immédiat l'été dernier, Piknic reviendra faire danser les foules pour une série de trois soirées gratuites aux Jardins Gamelin, les jeudis 16 juin, 28 juillet et 25 août. De même, la collaboration avec les Week-ends du monde offrira encore cet été deux samedis gratuits au site du parc Jean-Drapeau, les 9 et 16 juillet. Restez à l'affût pour connaître la programmation de ces événements spéciaux.
 
Et ce n'est pas tout! Attendez-vous à d'autres belles surprises pour septembre et pour la grande finale du 2 octobre. Piknic vous réserve encore quelques secrets pour illuminer vos dimanches d'été. À très bientôt sous le Calder!

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