In the summertime, beach enthusiasts will not want to miss visiting the Baie de Beauport. It has been a popular cruising area for years, offering enchanting scenery on the Saint-Lawrence coastline. Every summer, visitors can practice volleyball, soccer, canoeing, kayaking and sailing, or just relax on the beach and have a swim. Baie de Beauport is located only five minutes away from downtown Québec.
At the far edge of the old port and Nouvo Saint-Roch, Gare du Palais serves as Via Rail’s terminal and links Montréal to Québec City. Built in 1915 by the Canadian Pacific Railway, the two-story châteauesque station is similar in design to the Château Frontenac. This magnificent railway station has been designated as a heritage site.
18km from downtown Québec in the Ste-Foy-Sillery-Cap Rouge district, Jean-Lesage International Airport is the world’s gateway into the capital and the eastern and northern regions of the province. It is the second most important airport in the province after Pierre-Elliott Trudeau in Montréal. Close by, the Grand Time Hotel’s two charming establishments offer travellers some well-deserved rest.
the Lachine Canal, you can discover some of the oldest neighbourhoods of the city, the only ones outside the faubourgs east of Old Montréal (now the Village) that were massively built back when horses ruled the streets. As in the Village, there are still carriage gates that lead into stables. This was before the very British urban concept of alleys was introduced, in the second half of the 19th century.
The redevelopment of Griffintown profoundly transformed Notre-Dame St. which had been the area’s main commercial artery in the 19th century. This was preceded by the restructuring of Little-Burgundy, which had largely gentrified the neighbourhood. It’s where the black Anglophone community was concentrated in the early 20th century, and the birthplace of Montréal’s jazz scene. Also, the redevelopment of the outskirts of the canal south of Notre-Dame further transformed the artery where antique dealers elected residence. Cafés, restaurants and trendy bars began appearing, breathing new life into Notre-Dame St. This renewal stretches to the limits of the downtown area, Peel St. and down at Atwater market in Saint-Henri.
In Pointe-St-Charles, you should definitely visit the Saint-Gabriel house. It’s one of the rare 17th century buildings still standing on the island of Montréal, and the oldest farm house as well. Built by François Le Ber around 1660, this beautiful home hosted the King’s daughters until the year 1673. It was also used as a sewing room and small school. The house was largely destroyed by fire in 1693; only the creamery and the outhouse where untouched by the flames. In 1698, it was rebuilt on the foundations of the original buildings’. Today the house is a museum reminding us of Montréal’s lifestyle during the New France era.
Many people of the gay community have chosen to elect residence in Verdun, south of the canal. First in Ile-des-Soeurs, where many artists and creators moved into the new housing developments along the river. Then others moved to the very heart of Verdun, a former suburb now annexed to Montréal, attracted by the affordable prices. This has largely contributed to revitalizing of Wellington St., the main commercial artery of the neighbourhood.
La Matawinie qui s’étend à tout le bassin de la rivière Matawin, un affluent de la Saint-Maurice, couvre les deux tiers du territoire de Lanaudière. C’est la zone récréative par excellence pour les amateurs de plein-air.
À quelques km de Sainte-Julienne, Rawdon est l’une des villes de province les plus multiethniques du Québec. Le village a été fondé par des squatters irlandais, suivis d’Écossais, d’Anglais, de Loyalistes avant que la population francophone y devienne majoritaire vers 1840. Au début du XXe siècle, c’est au tour des Russes, Polonais, et Ukrainiens de s’y installer. Aujourd’hui, Rawdon célèbre cet héritage multiethnique.
À Rawdon probablement plus qu’ailleurs dans Lanaudière on peut observer la diversité des conifères qui poussent dans la région. Les pins parasols dominent dans le paysage. Traversé par les rivières Rouge et Ouareau, Rawdon est une ville d’eau. Il faut visiter le parc des Cascades et les chutes Dorwin. Comme c’est ici le piémont, on peut y pratiquer un large éventail d’activités de plein-air. Plage, parcours aérien d’arbre en arbre, patinage, équitation, traîneau à chiens, ski, excursions en kayak et campings vous attendent.
En reprenant la route 125 vers le nord, on atteint la partie lanaudoise du Parc national du Mont-Tremblant. Aux portes du parc, le village de Saint-Donat est un important site touristique avec ses centres de ski alpin au Mont-Garceau et au Mont La Réserve, les croisières sur le Lac Archambault et le Festival des couleurs à l'automne. Le village compte de nombreux restaurants et, tout autour, de nombreux hôtels, auberges ou gîtes du passant.
Les activités de plein-air sont nombreuses à Saint-Donat. Pour les amants de l'hiver, les sentiers de ski de fond et de raquette, généralement en partance du centre du village, abondent et vont dans toutes les directions. Il en va de même pour les sentiers aménagés pour les amateurs de motoneige dont Saint-Donat est en quelque sorte un relais. En été, les lacs sont tous très occupés et ce par de nombreux sportifs pratiquant la natation, la voile, la planche à voile ou d'autres loisirs reliés à l'eau. En automne, les artistes du village ou des environs exposent leurs œuvres pendant les fins de semaine du Festival des couleurs. Une piste cyclable traverse la municipalité le long de la rue Principale, et le sentier des marécages permet les promenades et l'observation des oiseaux.
En empruntant la route 131 à partir de Joliette, on peut s’engager encore plus profondément en forêt et se rendre jusqu’à Saint-Michel des Saints. Sur la route, Saint-Zénon est l’une des localités les plus hautes du Québec. Le village a été fondé en 1866 lorsque la colonisation s’est tournée vers le Nord, ici plus intéressée par la forêt que par la terre. Avant d’arriver au village, faites une randonnée pédestre dans le parc régional des Sept-Chutes. Au village, depuis le belvédère à l’arrière de l’église, contemplez la coulée des Nymphes. Les aménagements panoramiques, les horizons exceptionnels, la forêt protégée et la réserve faunique font de Saint-Zénon une destination touristique qu’affectionnent les amants de la nature. Vous êtes ici au coeur de la Matawinie et dans la capitale de la motoneige au Québec. C’est aussi un haut lieu de pêche, été comme hiver, en raison de sa forte concentration de pourvoiries.
Ceux qui veulent faire l’expérience de vivre à la manière des Premières Nations, voudront poursuivre la route encore plus au nord que Saint-Michel-des-Saints jusqu’à la communauté atikamekw de Manawan . Tourisme Manawan vous invite à y vivre une expérience authentique dans un cadre naturel en découvrant les rites, les traditions, l’artisanat amérindien et plus encore.
Aux pieds de montagnes des Laurentides et traversée par la rivière du Nord, Saint-Jérôme est la plus importance ville des Laurentides avec quelque 75,000 habitants. Son développement n’est pas étranger au travail colossal du légendaire curé Labelle dont la statue orne le parc qui lui est consacré au centre-ville devant la cathédrale.
Au XIXe siècle, le curé Antoine Labelle, abbé de Saint-Jérôme, a travaillé d’arrache-pied à la colonisation de la région afin de freiner l'exode des Québécois vers les États-Unis. Claude-Henri Grignon l’a immortalisé dans son oeuvre culte Un homme et son péché. Comme les villages se retrouvaient isolés durant l'hiver avec des routes impraticables, il fit pression auprès du gouvernement afin de créer une ligne de chemin de fer pour desservir les Pays d'en haut. Prélat catholique de 1868 à 1891, il réussit à faire relier St-Jérôme à Montréal par train dès 1876. Puis le chemin de fer sera prolongé progressivement pour atteindre finalement Mont-Laurier en 1909.
Le P’tit train du Nord permit aux villages des Laurentides de s'approvisionner durant toute l'année, d'améliorer les postes et d'installer le télégraphe. Mais il permit aussi d'exporter le bois de chauffage vers Montréal, contribuant ainsi au développement de la région. Il attira également des dizaines de milliers de touristes à chaque hiver, venus pratiquer le ski et fut à l’origine du développement touristique des Laurentides.
Avec la construction de routes praticables à l’année, puis de l’autoroute des Laurentides, le train périclita et aujourd’hui la piste cyclable et piétonnière rappelle son tracé. Dans chaque ville sur son tracé, on garde la mémoire de la gare qui jadis jouait un rôle si important dans la vie quotidienne. Et le nom du Curé Labelle est partout.
Ville industrielle et administrative, Saint-Jérôme est aussi la seule ville universitaire de la région avec ses institutions collégiale et universitaire. On trouve ici une vibration jeune et urbaine qui tranche avec les banlieues des Basses-Laurentides et les villes à vocation récréotouristique plus au nord. Cette vibration urbaine est perceptible au centre-ville, autour de la rue Saint-Georges. C’est là qu’on trouve la plupart des meilleurs restaurants, les cafés et bars branchés. L’été, leurs belles terrasses envahissent le domaine public. Vous les trouverez aisément entre le parc Antoine-Labelle et la place de la Gare. Le secteur est en plein redéveloppement avec la nouvelle salle de spectacle de 800 places qui est en construction à côté de la Place de la Gare dont l’ouverture est prévue en 2017. À deux pas, le marché public de Saint-Jérôme est un rendez-vous des producteurs maraîchers où l’on peut trouver fruits et légumes frais ainsi que des plantes, fleurs, fines herbes, produits de l'érable, pain, et pâtisseries.
On doit à Carlo Onorato Catelli, l’un des fondateurs de la Petite-Italie, l’adoption par les Québécois des pâtes alimentaires dans leur alimentation quotidienne. Arrivé à Montréal en 1866 à l’invitation de son oncle, le sculpteur Carlo Catelli, dès l’âge de 18 ans, il commence à rouler des macaronis et des vermicelles à la main au sein de sa propre entreprise. La première usine de pâtes du Canada voit ainsi le jour, rue St-Paul dans le Vieux-Montréal, en 1867. Dès 1920, l’usine qu’il a ouvert rue Bellechasse dans la Petite-Italie est mécanisée. Intégré dès le début à la vie montréalaise, il marie une fille du pays et devient un homme d’affaires prospère et impliqué dans sa communauté. On trouve encore aujourd’hui la marque Catelli dans toutes les épiceries au Québec et les pâtes dont il a apporté le secret dans sa besace, fait désormais partie du quotidien des Québécois.
C’est aussi dans la petite Italie qu’une véritable institution, la Pizzeria Napoletana, a fait découvrir depuis 1948 la riche tradition de la pizza napolitaine à croûte mince aux Montréalais. D’abord un petit bar fréquenté par les immigrants italiens qui voulaient goûter les saveurs nostalgiques de leur pays d’origine, cet établissement préserve cet héritage familial caractérisé par la simplicité et l’authenticité des recettes. La terrasse au coin de la rue Dante est très appréciée et en prime on peut apporter son propre vin.
Du côté du marché, il faut faire un tour chez Pastificcio Sacchetto, un fabriquant artisanal de pâtes et de sauces tomate. Cette fabrique de pâtes fraîches a ouvert ses portes il y a plus de 30 ans. On y trouve les spécialités italiennes des Sacchetto: les pâtes farcies, raviolis, tortellinis au fromage ou à la viande, medaglionis farcis au ricotta et au veau. Vous craquerez pour ses saveurs et sa fraîcheur. Ses amis taquinent le proprio en le déclarant grand-prêtre du pastafarisme.
Sans aucun rapport avec la cuisine italienne, la Dinette Triple Crown, rue Clark, est un secret de quartier à découvrir qui offre le comfort food du sud des États-Unis. On peut bien sûr manger sur place, mais c’est largement un restaurant où on va chercher quelque chose pour apporter. Du poulet frit, du porc effiloché ou du brisket fumé avec trois accompagnements. La Dinette vous offre tout le nécessaire pour faire un pique-nique au Parc de la Petite-Italie en face.
Berthierville à l’est complètement de la région de Lanaudière est le seul point entre Montréal et Trois-Rivières où on peut traverser le Saint-Laurent et gagner la Montérégie en transitant par traversier du village de St-Ignace-de-Loyola vers Sorel-Tracy. Comme pour Sorel-Tracy, le nom de la ville rappelle la mémoire d’un des commandants du Régiment de Carignan-Salières venu en Nouvelle-France en 1665 pour combattre les nations iroquoises alliées des colonies anglaises. Le huguenot Isaac Berthier y prit le nom d’Alexandre Berthier en se convertissant au catholicisme de façon à pouvoir rester dans la colonie où les protestants étaient interdits d’émigration. Après la guerre contre les Iroquois, il se vit concéder deux seigneuries, l’une dans Lanaudière, l’autre du côté de Bellechasse où on trouve encore aujourd’hui le village de Berthier-sur-mer. Sous le régime anglais, James Cuthbert et ses descendants reprendront la seigneurie de Berthier.
Ce riche passé se retrouve dans les maisons opulentes des rues Frontenac et Montcalm ainsi que sur l’ancienne place du marché. Lors de votre passage, il faut visiter la Chapelle des Cuthbert, un bâtiment patrimonial de la dernière famille de seigneurs des lieux. La descente de bateau très populaire donne accès au Saint-Laurent, aux îles de Berthier et au lac Saint-Pierre. À Berthierville, les fans de course automobile quant à eux voudront visiter le musée Gilles-Villeneuve consacré au célèbre pilote québécois de formule 1 décédé tragiquement au volant de sa Ferrari en 1982.
Si Berthierville a pris le nom de son premier seigneur, la municipalité régionale d’Autray dont elle est le chef-lieu porte celui du premier seigneur de Lanaudière, Jean Bourdon D’Autray. Les vieux villages de cette municipalité régionale qui longent la Saint-Laurent se visitent facilement à vélo en empruntant l’historique Chemin du Roy.
En visite dans D’Autray, les amateurs d’agrotourisme voudront faire un tour du côté de La Courgerie à Sainte-Élisabeth. Produisant des centaines de variétés de courges et autres cucurbitacées de toutes couleurs et de tous formats, les artisans de La Courgerie ont opté pour la cuisine afin de partager leur passion pour leur agriculture. Ces jardiniers gourmands proposent des créations surprenantes, savoureuses et uniques grâce aux parfums particuliers des récoltes de la ferme. De septembre à décembre, à la boutique sur la ferme, vous trouverez de charmants produits régionaux pour compléter vos recettes de saison.
Tout au nord, aux portes de la forêt profonde, Mandeville demeure une porte d’entrée de la réserve faunique Mastigouche. C’est dans cet ancien village forestier qu’on a tourné il y a quelques années, le film Un homme et son péché. Découvrez le nouveau parc régional des chutes du Calvaire ou faites le tour à vélo du lac Maskinongé, par le chemin Lafrenière qui rejoint la route 347. Après, vous aurez bien mérité de vous faire traiter aux petits oignons au Spa Natur’Eau.
Dans le Bas-du-fleuve, juste avant d’arriver en Gaspésie, Rimouski est la principale ville de tout l’Est du Québec avec ses 46,000 habitants. Cette charmante ville universitaire compte plusieurs établissements homosympas et une vie culturelle et nocturne active concentrée le long du boulevard Saint-Germain. Sertie de ces deux joyaux que sont Le Bic à l’ouest et Saint-Luce-sur-mer à l’est, la région offre un large éventail de tous les plaisirs maritimes, de la plage sablonneuse au kayak sur mer.
Rimouski compte quatre musées qui vous plongeront dans l’univers marin. []Le plus important est le Site historique maritime de la Pointe-au-Père. Visitez les anciens bâtiments de la station de phare et ce phare qui a joué un rôle central dans l'histoire de la navigation sur le Saint-Laurent. Érigé en 1909, c’est l'un des plus hauts au Canada. La visite permet d'atteindre son sommet et de profiter d'une vue fantastique.
Le Musée
Empress of Ireland
raconte l'histoire beaucoup moins connue que celle du Titanic, mais toute aussi tragique de l'Empress of Ireland. De sa construction, en 1906, jusqu'au naufrage qui fit 1012 victimes, en 1914, vous apprendrez tout sur ce magnifique navire. Découvrez la collection d'objets prélevés sur l'épave, des photos, des bornes interactives et des témoignages de passagers. Un spectacle multimédia vous plongera dans l'atmosphère de cette nuit tragique. Vous pouvez aussi y monter à bord de l’Onondaga, le seul sous-marin accessible au public au Canada. En entrant dans le navire vous découvrirez le quotidien d’une soixantaine d’hommes, qui vivaient confinés pendant des mois dans un sous-marin de 90 mètres. La visite audioguidée vous plongera dans ce monde fascinant et inconnu. Il est aussi possible de passer une soirée et une nuit à bord pour vivre l’expérience comme si vous étiez sous-marinier!
En prenant une navette à la marina de Rimouski, on peut accéder à l’Ile Saint-Barnabé, à trois km au large, un lieu de migration de plus de 72 espèces d’oiseaux dont le cormoran et le grand héron.
À visiter aussi, la maison Lamontagne, une maison à colombages pierroté, classée monument historique. Cette demeure, qui représente un des derniers vestiges de ce type d'architecture en Nouvelle-France, fut construite vers 1744. Au plan carré initial, une rallonge est ajoutée en 1819. C’est aujourd’hui un centre d’interprétation de la vie en Nouvelle-France.
À une dizaine de km de Rimouski, retournez mil ans en arrière aux origines de la civilisation occidentale à la Feste Médiévale de Saint-Marcellin en août. Trois jours de célébrations, tournois, foire et spectacles sont au programme ainsi que le célèbre banquet du Seigneur des lieux. Visitez le Bourg médiéval soigneusement reconstitué, avec sa tour de guet de quinze mètres, son trébuchet et ses décors qui vous transporteront en l'an mil.
Lors de la fin de semaine de la Fête du Travail, le centre-ville de Rimouski s’anime pour la 30e édition de son festival de jazz. L’organisation propose, cette année encore, une programmation qui mettra en vedette des figures mondiales du jazz, des virtuoses en pleine ascension internationale, des visages incontournables de la scène québécoise, des jeunes musiciens de la relève et plusieurs artistes régionaux du jazz bien en vue.
Le Bic
À l’ouest de Rimouski, sur le bord du Saint-Laurent, le parc national du Bic vous attend avec ses caps, ses baies, ses anses, ses îles et ses montagnes qui dessinent un paysage exceptionnel. Des milliers d'oiseaux marins viennent y nicher et des plantes rares fleurissent sur les caps rocheux. Ce petit parc national est unique avec ses caps, anses, îles et montagnes de carte postale. À l’entrée du parc national, l’Auberge du Mange-Grenouille sise dans un bâtiment datant des années 1840, est une des auberges les plus recherchées de la region.
Profitez de votre visite au Bic, pour découvrir une des fermes les plus originales de la région. La Ferme C’est la faute des Biquettes vous offre une visite animée ludoéducative, plus de quinze espèces d’animaux dans un lieu propre et accueillant. Découvrez les particularités des moutons (bergerie en exploitation) chèvres, lamas, lapins, cochons, poules, autruches et plusieurs autres. Loin d’une simple visite, vous vivrez ici, une expérience où humour et informations pertinentes sont à l’honneur. En plus de voir, nourrir et toucher plusieurs espèces, vous comprendrez aussi la vie à la ferme. Le propriétaire François Gagnon est un ami de la communauté.
Passé Matane, la Haute-Gaspésie est le pays par excellence des éoliennes qui se dressent sur les montagnes. À Cap-Chat, Éole Cap-chat vous fait découvrir cette industrie verte en plein essor dans la région. À quelques km, Ste-Anne-des-monts est la principale ville de la région. À proximité, il faut visiter la mine d’agates du mont Lyall. Cap-Chat et Sainte-Anne-des-Monts comptent plusieurs adresses homosympas.
Plus vous poursuivrez votre route vers l’est, plus la montagne se rapprochera de la côte et vous découvrirez les paysages uniques de la Gaspésie entre la montagne et la mer. En Haute-Gaspésie, ce contact a fait de Mont-Saint-Pierre la capitale du vol libre, et des ailes multicolores viennent habiller son ciel durant l’été. En juillet, la Fête du Vol libre se veut une rencontre internationale de pilotes de deltaplane et de parapente.
De Mont-Saint-pierre, vous pouvez accéder au parc national de la Gaspésie. Haut lieu de la randonnée pédestre, ce parc donne accès à un environnement montagnard exceptionnel. Parmi les monts qui traversent le parc, se trouve le mont Jacques-Cartier, le deuxième plus haut sommet du Québec. L’altitude de ces montagnes influence profondément le climat qui modèle tout le paysage et crée une diversité d’espèces unique au Québec et même au monde. Plantes arctiques-alpines et paysages de toundra constituent l’habitat d’un troupeau de caribous des bois, derniers représentants de cette espèce au sud du Saint-Laurent.
Des jolis villages du Kamouraska, au début de l’estuaire, en passant par les villes pittoresques de Rivière-du-Loup, Cacouna et Trois-Pistoles, on passe progressivement des paysages de la vallée du Saint-Laurent aux paysages spectaculaires de mer à perte de vue. Le bleu devient omniprésent.
Rivière-du-Loup, la principale ville de la région avec ses 20,000 habitants, est un carrefour important qui relie le Témiscouata (et de là toute la vallée du fleuve Saint-Jean au Nouveau-Brunswick) à Charlevoix et au Saguenay via le traversier qui va à Saint-Siméon. C’est à Rivière-du-loup que le réseau autoroutier de la Transcanadienne bifurque à travers le Témiscouata vers les provinces maritimes.
Des croisières permettent d’aller observer les baleines du parc marin du Saguenay-Saint-Laurent au large. Profitez d’un point de départ unique sur la rive sud du Saint-Laurent pour découvrir le plus beau site d’observation des baleines et partez à la rencontre des figures emblématiques du Saint-Laurent : rorquals, bélugas, phoques, marsouins et oiseaux. Au fil de la croisière, vous serez émerveillés par la beauté du littoral parsemé d’îles et de phares ancestraux qui ont façonné l’histoire de la région.
D’un point de vue patrimonial, le Vieux-Saint-Patrice à l’ouest de la rue Fraser, rappelle cette époque où la bourgeoisie anglo-canadienne avait fait de ce secteur en bord de mer ses quartiers d’été. En y installant ses quartiers d’été de 1871 à 1890, le premier ministre canadien John A. MacDonald y attira de nombreux membres de ses cabinets. Au XXe siècle, les hommes politiques Ernest Lapointe et Louis Saint-Laurent poursuivirent cette tradition. Aujourd’hui, le quartier compte de dizaines de somptueuses villas entourées de superbes aménagements paysagers. Et ce secteur est tout à proximité de la jolie plage sablonneuse du village voisin de Notre-Dame-du-Portage.
Un des bijoux du circuit patrimonial du Vieux-Rivière-du-Loup. c’est le domaine seigneurial Fraser, classé site historique qui comprend un manoir, ses dépendances et son terrain. Le manoir, a été construit en 1829. Le sixième seigneur de Rivière-du-Loup, Alexandre Fraser acquiert le manoir en 1834, et le bâtiment sera habité par ses descendants durant 155 ans. Quand le manoir est rénové en 1888, les travaux sont effectués dans le style néo-Queen-Anne selon les plans commandés à l'architecte Georges-Émile Tanguay (1858-1923). Ayant subi peu de modifications depuis 1888, le manoir constitue le plus important exemple d'architecture résidentielle néo-Queen Anne à Rivière-du-Loup.
L’été, le centre-ville s’anime et offre plusieurs activités culturelles entre autres au Parc Blais. Il faut voir aussi le Parc des Chutes, depuis longtemps un lieu de rencontre pour les hommes gais de la région.
Pour découvrir la vie insulaire de l’estuaire, découvrez le circuit patrimonial de la pittoresque Ile Verte. À quelques km de Rivière-du-Loup, l’Ile Verte est une destination idéale pour décrocher du stress de la vie moderne. Dans cette ile dont la population ne dépasse pas 50 habitants, on nomme les maisons par leurs anciens occupants. Le circuit touristique, comprend trois attraits importants: l’École Michaud, le Musée du squelette et le site du Phare. Le Phare de l’île Verte est un des premiers phares du Canada et le tout premier à être érigé sur le St-Laurent. Construit entre 1806 et 1809, il hébergea plusieurs gardiens et ce, jusqu’en 1972. Il est aujourd’hui considéré comme monument national et comme destination de choix pour les visiteurs du Québec.
Les deux tiers de la population de la région de Lanaudière sont concentrés dans la conurbation qui va de Terrebonne sur la rivière des Mille-Iles à Repentigny au confluent de la rivière et du Saint-Laurent, en passant par Charlemagne et L’Assomption sur la rivière du même nom, un affluent de la rivière des Mille-Iles.
Terrebonne est la ville la plus importante de la région avec plus de 110,000 habitants. Cette banlieue de Montréal compte l’un des plus importants quartiers historiques de la périphérie métropolitaine. Que ce soit pour ses bâtiments et ses sites patrimoniaux, dont l’Île-des-Moulins, pour ses richesses culturelles telles que le Théâtre du Vieux-Terrebonne et la Maison Bélisle, pour ses événements tels que le Festival vins et histoire, son marché de Noël, ses bonnes tables et terrasses estivales ou tout simplement pour observer la fougueuse rivière des Mille Îles, vous apprécierez le Vieux-Terrebonne.
Dans la ville voisine de Repentigny, la 2e plus importante de la région avec plus de 80,000 habitants, la chanteuse et artiste-peintre Diane Dufresne, vient de donner son nom au centre d'art et de création, inauguré en novembre 2015 dans le nouveau centre-ville. Sa salle multifonctionnelle accueillera des artistes en résidence de création dans différentes disciplines et servira également de salle de répétition pour les artistes de la région. La galerie permanente dans le hall comprend une œuvre de Jean-Paul Mousseau, des vitraux de Marcelle Ferron et une œuvre de Diane Dufresne.
Si vous allez à Repentigny, faites un détour par la petite ville de Charlemagne de l’autre côté de la rivière l’Assomption où Céline Dion est née et a passé son enfance avant d’entreprendre la carrière qui l’a mené aux quatre coins du monde. La modeste maison familiale au 130, rue Notre-Dame a été remplacée l’an dernier par le siège social de la Fondation Maman Dion.
En poursuivant sur la rivière L’Assomption, le quartier des Arts de la ville de L’Assomption allie patrimoine, arts et bonnes tables. Le centre Hector-Charland est l’une des plus importantes salles de spectacles de la région. En décembre, les terrains du Collège de l’Assomption accueillent un marché de Noël dans la plus pure tradition européenne.