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Archive du blog pour mars 2024


Un petit creux à combler avant ou après le spectacle ou les emplettes? L’axe de la rue Saint-Joseph offre d’excellentes tables. Essayez Le Cercle pour sa cuisine à base de produits locaux, son ambiance éclectique et sa programmation d’événements culturels. À moins que vous n'ayez un penchant pour le bistro du Clocher Penché? C’est toujours un réel plaisir de s’attabler dans cet irréductible bistro qui échafaude son art autour de produits d’artisans d’ici. Au brunch, les becs salés se régalent de mets uniques en ville, telles la tarte à l’endive ou la brouillade d’œufs au maquereau fumé. Le midi, le classique bistro du jour rameute plusieurs affamés. Et le soir, la carte se veut rassembleuse, forte de plats gorgés d’amour qui semblent s’être encanaillés. Une valeur sûre.

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Vous cherchez un endroit bien branché pour prendre un verre en fin de journée? Le Versa Resto-bar à deux pas sur Du Parvis vous offre une carte des vins exclusive, un bel éventail de mojitos et l’unique bar à huîtres de Québec. Vous découvrirez la cuisine bistronomique du chef Benoit Poliquin. Des plats savoureux : pétoncles poêlés, bavette de bœuf, arrivages de poissons frais, avec un style et des saveurs gastronomiques à des prix raisonnables.

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Un peu plus loin sur Saint-Joseph, Les Sales Gosses proposent une cuisine travaillée et goûteuse, influencée par la France et Italie. Le restaurant se trouve dans un local tout en longueur où le noir et le blanc sont de véritables accessoires qui contribuent à rehausser les différents plats au menu. Les clients apprécieront l’aspect épuré du resto, sans compter l’immense banquette de la salle à manger, ainsi que le vaste bar qui permet à la clientèle de manger sur le pouce ou d’apprécier une soirée entre amis.

Les amateurs de bières artisanales, eux, souhaiteront étancher leur soif à la micro brasserie La Barberie, qui a atteint le stade d'institution dans le quartier. À moins que ce ne soit chez la petite dernière, Korrigane Brasserie Artisanale. Rue Saint-Vallier, on raconte que vous pouvez croiser Robert Lepage aux Salons d’Edgar.


Si la ville de Maisonneuve apparut d’abord comme un ambitieux projet de développer un Westmount francophone avant d’être annexée à Montréal, Hochelaga s’est d’abord et avant tout développé comme un quartier ouvrier près du port et de ses industries. La faillite des projets grandioses de Maisonneuve a fait de cet arrondissement au XXe siècle un quartier résolument populaire et francophone.

Avec la désindustrialisation de tous les quartiers centraux à la faveur des nouveaux modes de transport et d’un urbanisme favorisant les parcs industriels à l’écart des zones résidentielles, ce quartier est en mutation, mais demeure un quartier résolument populaire et francophone et ce même si la mixité sociale est de retour. Ceci se reflète dans la restauration et la gastronomie. Longtemps dominée par les casse-croûtes et la restauration rapide, elle fait peu à peu place à une cuisine toujours largement québécoise ou d’inspiration française, mais beaucoup plus recherchée, laissant place aux produits du terroir.

Durant les vingt dernières années, la revitalisation du Marché Maisonneuve, vestige des projets de grandeur de Maisonneuve, et l’aménagement de la Place Valois ont permis l’installation de boutiques spécialisées, boulangers, pâtissiers, charcutiers, bouchers et attirés de nouveaux cafés et bistros. Rue Ontario, Antidote est le premier café et épicerie entièrement végane, alors que le Marché 4751, rue Ste-Catherine, propose des produits bio, équitables et du terroir qu’on peut déguster sur place. À quelques coins de rue, Les Cabotins proposent dans le cadre humoristique d’une ancienne mercerie une cuisine française revisitée, déclinée aux produits du terroir. Les amateurs doivent essayer le cassoulet et même les plus rébarbatifs seront réconciliés avec le boudin.

Mais c’est surtout sur la rue Ontario que le renouvellement se fait. Le bistro La Cervoise, près de la place Valois, offre un menu à base de gibiers, de produits du terroir et de la mer responsables, déclinés en burgers, en tartares ou en poutines. Non loin, La Mâle Bouffe offre sandwichs et poutines gourmandes avec une spécialité en viandes fumées. Le Café Bobby McGee offre des déjeuners et brunchs copieux , un excellent café et de vastes rayons de bibliothèque pour bouquiner et des spectacles musicaux en soirée. Les noctambules qui regagnent leurs foyers de l’Est, s’arrêtent souvent au Miami Deli, un resto dans la tradition du delicatessen ouvert 24h dans un décor floridien rétro.

Maison-lavande

Au nord de Montréal, les Laurentides sont certainement la destination première des citadins de la métropole à la recherche de quiétude et de grand air. Il faut s’hasarder sur l’autoroute 15 au nord de Montréal un vendredi ou dimanche soir pour s’en convaincre.

Pour les visiteurs et grands voyageurs, c’est aussi une région des plus touristiques où la plaine du Saint-Laurent fait vite place aux collines et montagnes des Laurentides.

Sur le bord de la rivière des Mille-Iles, la conurbation qui va de Pointe-Calumet à Bois-des-Filion, avec son quart de million d’habitants, s’est développé en périphérie de Montréal.

Les passionnés d’histoire et de patrimoine prendront plaisir à visiter les différents noyaux villageois à partir desquels cette conurbation s’est développée. Le Vieux-Saint-Eustache est le plus chargé d’histoire de ces anciens villages de campagne. Le Musée de Saint-Eustache rappelle l’histoire des Patriotes de 1837-38 et de leur tragique défaite aux mains de l’armée anglaise qui incendia et pilla le village.

Les amateurs de musique électronique, de plage et de soleil ne manqueront pas d’aller faire un tour de piste au Beachclub de Pointe-Calumet. Profitant de la plage sur le lac des Deux-Montagnes qui lui donne des airs d’Ibiza, le Beachclub rassemble les beaux jours d’été des milliers de danseurs toutes orientations sexuelles confondues qui vibrent au son des meilleurs DJs locaux et internationaux.

Un peu plus à l’ouest, les amateurs de naturisme affectionnent tout particulièrement la plage d’Oka où plusieurs gais se donnent rendez-vous. Non pas que l’eau soit particulièrement claire à cet endroit où l’Outaouais rejoint le Saint-Laurent au Lac des Deux-Montagnes, mais la plage recèle d’autres merveilles.

Un riche terroir

Plage naturiste d'Oka

Sitôt qu’on quitte ces développements urbains, l’agriculture reprend ses droits d’ainesse. Les Basses-Laurentides se démarquent par la diversité et la qualité des produits de son terroir. De la saison des sucres à l’auto-cueillette de pommes, courges, raisins, prunes, poires, les producteurs, vergers, vignobles et champs de lavande vous ouvrent leurs portes.

À Saint-Eustache, il faut visiter deux joyaux du terroir laurentien. Le Vignoble Rivière du Chêne, fondé en 1998, s’étend sur 16 hectares et produit plus de 11 500 caisses de vins annuellement. Ses vins ont été honorés lors de prestigieux concours internationaux,

Le vignoble offre une ambiance unique que ce soit pour un mariage, un souper, un anniversaire, un 5 à 7 ou un vins et fromages.

Un peu plus loin, il faut aller se promener dans la grande lavanderaie de La Maison Lavande. L’été, la visite des champs en fleurs est vraiment bucolique. Vous y trouverez des aires de pique-nique et de repos, sentiers de marche, un bistro et même un poulailler. Sa parfumerie et sa boutique gourmande offrent des produits originaux à la lavande faits sur place et des produits du terroir de la région.

À St-Joseph-du-Lac, le vignoble Les Vents d’Ange s’étend sur trois hectares. La montagne qui le protège, crée un microclimat qui le protège lors d’intempérie. Une terre sablonneuse et rocailleuse concède une minéralité qualitative à ses produits. Depuis 2013, le vignoble s’est doublé d’une microbrasserie. L’orge qui pousse dans les champs est maltée sur lace de façon ancestrale dans la malterie. La microbrasserie offre des bières blonde, rousse, rousse forte ainsi qu’aux potimarrons.

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Avec son climat adouci l’hiver quand la masse d’air de l’Atlantique franchit les Appalaches, les Cantons de l’Est comptent plusieurs microclimats qui ont permis l’émergence d’une industrie viticole florissante depuis une trentaine d’années, industrie qui est venue s’ajouter aux vergers et aux cidreries qui sont une tradition aussi ancienne que la Nouvelle-France. Dans Brome-Missisquoi, du Lac Brome jusqu’à Frelighsburg en passant par Dunham , vous trouverez plus de vingt vignobles et un réseau de 140 km, la route des Vins, vous amènera dans sept charmants villages de la région. Vous êtes ici dans la principale région viticole du Québec qui produit à elle seule 60% de toute la production québécoise. Des vins blancs, rouges, rosés, des vins de glaces, fortifiés et tous les autres produits alcoolisés du cidre au gin.

La Route des vins compte plus d’une centaine de partenaires surnommés « les amis de la route des vins ». Vous y trouverez des lieux d’hébergements, des restaurants et de nombreux attraits agrotouristiques, d’arts et de culture et de plein air pour enrichir et compléter votre séjour. Idéal pour faire un pique-nique dans un vignoble agrémenté d’une visite libre ou guidée pour découvrir l’univers viticole ou encore une escapade gourmande pour découvrir les produits du terroir et les bonnes tables de la région. À travers montagnes, collines et vallées, une vingtaine de vignobles vous attendent pour vous faire partager leur amour du bon vin. Certains sont vignerons depuis plus de trente ans alors que d’autres se sont ajoutés tout récemment. Pas un n’est pareil, chacun a sa personnalité propre, mais ce qu’ils ont en commun c’est la passion qui les anime pour fabriquer du bon vin.

Au tout début de ce circuit, à quelques km de l’Autoroute des Cantons de l’Est, le Domaine Les Brome à Lac Brome bénéficie d’un site champêtre exceptionnel avec une vue à couper le souffle, un chai magnifique et moderne. Avec ses 18 hectares de vignes plantées sur des coteaux plongeant vers le Lac Brome, ce vignoble surélevé bénéficie d’un microclimat qui permet de vendanger tard en automne au moment où le raisin atteint une belle maturité. Son sol pauvre, caillouteux, argileux avec un peu de calcaire constitue un terreau fertile et permet le développement de vins typés, expression d’un terroir remarquable.

Le village de Dunham, au cœur de ce circuit regroupe plusieurs vignobles et cidreries dont les doyens, le domaine des Côtes d’Ardoise et le vignoble de l’Orpailleur. Le Domaine des Côtes d'Ardoise, le premier vignoble de la région est un véritable site champêtre. Vous serez charmés par ses jardins, ses bâtiments historiques sans oublier l'exposition des oeuvres d'art. Le vignoble de l’Orpailleur, pionnier lui aussi de son industrie au Québec, a planté ses premières vignes en 1982 dans la belle vallée de Dunham. Il offre aux amateurs de vin une famille de dix vins qui jouissent d’une reconnaissance nationale et internationale grandissante auprès de nombreux experts. Le vignoble compte plus de 140 médailles d’or et d’argent, reçues lors de concours internationaux, un témoignage évoquant bien le soin que le vignoble met à l’élaboration de ses vins.

Juste en face, la cidrerie et vignoble Union libre offre des cidres de feu exquis, produits d’une technique toute différente du cidre de glace. À ses cuvées de cidre de feu, cidre de feu fortifié et cidre de glace, s’ajouteront bientôt ses premiers vins. Un nouveau venu aussi, le Vignoble Centaure vous invite savourer des goûts uniques, un harmonieux mélange de vin traditionnel avec du vin de paille qui est la marque de commerce de la maison. Vous trouverez aussi dans la région le célèbre Domaine Pinnacle dont les cidres de glace, les crèmes et whiskys à l’érable, ainsi que le gin sont réputés.

En auto ou à vélo, vous pouvez découvrir tout sur sa production et découvrir la diversité des produits de notre terroir chez l’un ou plusieurs des 21 vignobles du circuit officiel de la Route des vins.

Peu se souviennent du fait que le premier lieu d’implantation de la communauté italienne à Montréal ce fut la paroisse du Mont-Carmel au début des années 1900, au coin d’Amherst et René-Lévesque dans ce qui est maintenant le Village. Ne reste plus de cette époque que le célèbre restaurant Da Giovanni, rue Sainte-Catherine, et quelques familles maintenant bien enracinées dans ce Faubourg Québec qui a vu naître le Village, comme les Forcillo. Car dès 1911, la communauté migre vers le Nord, vers le territoire vierge où s’établit la paroisse catholique Notre-Dame-de-la-Défense et qui deviendra connu comme la Petite Italie de Montréal. La création du Marché du Nord en 1933 (maintenant le Marché Jean-Talon) à proximité viendra renforcer le caractère bien européen de ce quartier au cœur de l’Ile de Montréal.

La communauté a bien changé depuis le temps où Guido Nincheri peint à la demande de la paroisse dans l’église maintenant presque centenaire  le pape Pie XI et Mussolini à cheval dans l’abside pour célébrer les accords du Latran, passés en 1929 entre le Saint-Siège et le gouvernement italien, qui ont menés à la création de la cité du Vatican. Le poids de la religion catholique et de son homophobie active qui marquaient la famiglia décrite par Galluccio dans Mambo Italiano se sont allégés au fur et à mesure que la société québécoise a évolué.  Depuis les années 1960, la Petite Italie n’est plus le cœur de la communauté italienne qui s’est peu à peu déplacé vers  Saint-Léonard, puis  le nord-est de l’Ile de Montréal, mais le quartier est demeuré la principale vitrine de la présence italienne à Montréal.

La revitalisation du Marché Jean-Talon depuis une vingtaine d’années, ainsi que celle des rues Saint-Laurent et Dante ont créé une atmosphère toute épicurienne dans ce quartier reconnu pour ses excellents restaurants italiens, ses terrasses animées et ses boutiques d’alimentation spécialisées et raffinées.

Le marché Jean-Talon, nommé en l’honneur du premier intendant de la Nouvelle-France, se distingue par son important rassemblement de producteurs locaux de fruits et légumes, et par l’offre diversifiée des nombreux boutiquiers. C’est un des plus gros marchés d’Amérique du Nord, dont l’effervescence est constante puisqu’il est maintenant ouvert été comme hiver. C’est le marché chouchou des Montréalais. Il est toujours agréable d’y aller faire ses courses, puis de s’affaler à une des meilleures tables du quartier pour y goûter la douceur de vivre.

Parc-des-Ancêtres

L’île d’Orléans est connue comme un lieu exceptionnel pour la richesse de son patrimoine. Les habitants de l’île sont conscients de la dimension nationale du riche héritage patrimonial et historique dont ils ont hérité. Ils sont sensibles à la charge symbolique que l’Île continue de transporter, à leurs yeux mêmes comme à ceux de tous les québécois. Ils ont donc choisi de mettre en valeur les caractéristiques propres de l’Île, qui en font encore aujourd’hui la « terre mémoire » de l’Amérique française.

Patrimoines maritime et naturel, politique et territorial, social et familial, artistique et culturel, toute la chaîne historique, toute l’activité humaine y sont représentées. Les activités d’interprétation offertes dans les cinq lieux historiques de l’Île sont complètes en elles-mêmes, mais elles s’enrichissent en plus du Réseau d’histoire de l’île d’Orléans, une approche intégrée qui fait du patrimoine historique de l’Île une richesse exceptionnelle par sa complémentarité.

Vestiges d’un patrimoine historique d’une richesse exceptionnelle, parcourez ces six lieux d’interprétation qui vous raconteront, à leurs façons, le passé pertinent de l’île d’Orléans. Ici vous découvrirez le mode de vie des habitants de l’Île à l’époque du Régime seigneurial alors qu’ailleurs vous en apprendrez plus sur l’un des grands poètes francophones, mais partout, vous serez comblés par les connaissances que vous en retirerez.

Les étapes du circuit

Comment vivait-on sous le Régime français, alors que nous n’avions ni électricité, ni eau courante, ni confort ? Venez le découvrir en visitant la Maison Drouin, seule maison de l’île datant du Régime français et non modernisée. Vous y découvrirez comment vivaient vos ancêtres, les habitants de la Nouvelle-France. L’alimentation, l’architecture, le mode de vie, le travail et la famille sont abordés durant une visite guidée de 30 minutes. Vous prendrez conscience du rythme de vie des colons et du travail qu’ils devaient abattre chaque jour pour subvenir à leurs besoins et à ceux du seigneur.

Découvrez le Manoir Mauvide-Genest (1734), résidence Louis XV d’un chirurgien devenu seigneur, restaurée et meublée avec rigueur. Des guides en costume d’époque relatent la vie au temps du régime seigneurial français. Un multimédia, des activités pédagogiques et des conférences complètent la programmation

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L’émergence du Village a radicalement changé la restauration de l’ancien Faubourg Québec. Jusqu’aux années 1990, la rue Sainte-Catherine, au cœur du Village, était le paradis des casse-croûtes et de la restauration rapide. La présence de la Cité des Ondes depuis les années 1970 a fait apparaitre les premières bonnes tables à proximité de Radio-Canada. Sur la rue Sainte-Catherine, aux débuts des années 1990, le Saloon et le Planète ont fait figure de pionniers en offrant à la clientèle gaie des tables au goût du jour. Leur cuisine du monde a donné le ton à une diversification de la table et aujourd’hui on peut sans quitter le Village faire le tour du monde dans son assiette. Il n’est pas un continent qui ne soit pas représenté.

Avec Aires libres de mai à septembre, la rue Sainte-Catherine devient piétonnière et les visiteurs adorent s’affaler sur les terrasses pour profiter de bons repas et voir et être vu par la faune bigarrée qui déambule sur l’artère principale du Village. L’atmosphère y est festive et la grande majorité de la cinquantaine de terrasses qui prennent la rue, appartiennent à des restaurants. Vous pouvez en profiter pour faire une expérience culinaire passant des diverses cuisines asiatiques aux rôtisseries portugaises en passant par les spécialités mexicaines ou birmanes.

Pour explorer toute la richesse de la table dans le Village, il faut toutefois ne pas hésiter à quitter la rue Sainte-Catherine pour découvrir les trésors des rues transversales jusqu’à René-Lévesque au sud ou Ontario au nord. Sur Wolfe, les noctambules et les amateurs de cuisine québécoise, se retrouvent au Resto du Village, une véritable institution montréalaise qui attire des clients affamés qui désirent un bon repas dans un resto style déli mais non graisseux à toute heure. Décor rustique, ambiance animée, des tables de taverne et un personnel sympathique, voilà le Resto du Village. On y servirait la meilleure poutine en ville.

Sur De Champlain, La Mezcla offre une cuisine fusion originale alliant spécialités péruviennes et terroir québécois juste en face du parc Campbell, un oasis de verdure. En arpentant le boulevard René-Lévesque, vous découvrirez les tables favorites des artisans et artistes de notre télévision. La gastronomie lyonnaise savoureuse et réconfortante est à l’honneur au Comptoir lyonnais. Quenelles de brochet, petit salé aux lentilles, soupe à l’oignon ou pot-au-feu, les plats sont tous généreux et à prix raisonnables. En été, la terrasse arrière, un oasis de calme, est incontournable

Du côté du boulevard De Maisonneuve, En couleur nous régale de ses crêpes maisons et d’authentiques donairs d’Halifax. Un nouvel ajout à surveiller, le Passé composé dont la réputation n’est plus à faire, quitte son petit local de la rue Roy sur le Plateau pour s’installer dans l’ancien local du Pica Pica qui bénéficie d’une des plus belles terrasses du Village.

Du côté de la rue Ontario, autour des salles de spectacles de l’Usine C et du Théâtre Prospero, on trouve parmi les meilleures tables du quartier. Du réputé Carte Blanche jusqu’à l’excentrique Ma grosse truie chérie, en passant par Tablée Vin et le classique Petit Extra. Ma Grosse Truie Chérie vous accueille à sa table des plus chaleureuses avec des produits du terroir choisis avec le plus grand soin et une sélection de vins d’importation privée qui vous feront vivre une expérience mémorable. Chez Tablée Vin, le décor épuré et élégant de ce resto spacieux vous permet de respirer. Il faut goûter au médaillon de cerf de Boileau ou au carré d’agneau à la sauce provençale, aux crevettes au pastis ou encore à la poêlée de ris de veau au cidre de glace. Pour les amateurs de restauration rapide, Poutineville à deux pas vous offre la plus grande sélection de poutines qui sauront plaire à tous les goûts.

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Quelques suggestions pour casser la croûte à St-Jean-Port-Joli, Si vous avez envie d’un bon café torréfié sur place, d’un bon thé, accompagné d’un croissant ou d’un muffin, d’un déjeuner continental ou d’un excellent dessert, allez faire un tour au Café Bonté Divine. Vous serez dans un endroit de saveurs uniques et pourrez prendre le temps de relaxer avant de vous rendre aux abords du fleuve ou de visiter les artisans.

La Libellule est un resto convivial offrant une cuisine maison depuis 33 ans où on peut apporter son vin. Son secret ? De la soupe réconfortante, du pain frais de notre boulangère, des ingrédients frais pour cuisiner une ribambelle de pitas et de pizzas, de sandwichs et de salades bien garnis, une farandole de mets végétariens, le tout, saupoudré de créativité et de sourires.

Pour un repas un peu plus substantiel, la Coureuse des Grèves a pignon sur rue en plein cœur du village de St-Jean-Port-Joli. Elle loge dans une superbe maison ancestrale entièrement restaurée. La Coureuse camoufle ses charmes gastronomiques sous des airs de petit café urbain.   Avec son menu à la carte quatre saisons, la Coureuse des Grèves vous convie à une table constamment réinventée aux saveurs locales. Avec sa terrasse couverte, spacieuse et chauffée, il n’y a pas meilleur endroit pour profiter d’un doux moment saisonnier en associant bonne chair et bon vin. Le chef Patrick Gonfond harmonise ses arômes au rythme des saisons. Elle offre des mets savoureux et colorés d’une cuisine constamment réinventée.

À quelques km de Saint-Jean-Port-Joli, dans l'un des plus beaux villages du Québec, L’Islet-sur-Mer,  est un bistro à la cuisine gastronomique, une halte gourmande, sur la route de vos vacances, qui vous permettra de découvrir une cuisine inventive concoctée avec les produits des artisans d'ici mettant en valeur nos fruits de mer et poissons, le canard et la caille avec une carte des vins d'importation privé et en prime une terrasse avec vue sur le fleuve.

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Au cœur de l’ancien territoire de chasse de la nation abénaquise, Dunham a été le premier territoire érigé en canton par la Couronne britannique après l’arrivée au Québec de quelque 8,000 loyalistes fuyant la Révolution américaine.

Réfractaires au système seigneurial français maintenu dans la colonie après le Traité de Paris, ces loyalistes ne souhaitaient pas s’installer dans la vallée du Saint-Laurent où ils auraient été soumis à ce régime. Quant à elles, les autorités britanniques souhaitaient créer un tampon entre les nouveaux États-Unis et la Province de Québec.

Après la fondation de villages illégaux dans la région de la Baie Missisquoi, la Proclamation royale de 1791 ouvrit de nouvelles concessions dans le territoire abénaquis qui devint les Eastern Townships (Cantons de l’Est) en opposition aux Western Townships du Haut-Canada (Ontario actuel). Après avoir racheté la seigneurie de Saint-Armand, le juge Thomas Dunn obtint finalement le droit de sa concession en 1796 créant ainsi le premier «Township» qu’il nomma Dunham.

Deux siècles plus tard, ce canton jouera de nouveau un rôle de précurseur lorsque le Domaine des Côtes d'Ardoise (1979) et le Vignoble de l’Orpailleur (1982), pionniers de leur industrie au Québec, ont planté leurs premières vignes en dans la belle vallée de Dunham. Aujourd’hui, le village est au cœur de l’industrie viticole québécoise et Dunham est un arrêt incontournable sur la route des vins de Brome-Missisquoi.

C’est dans ce cadre enchanteur que Xavier Dolan a tourné le clip de la chanteuse britannique Adèle, Hello.

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La petite ville voisine de Sutton compte de nombreux attraits touristiques. La présence du mont Sutton et de sa station de ski attire de nombreux skieurs durant la saison hivernale. Le mont Sutton fait partie des stations majeures du Québec. Son concept unique de ski en sous-bois toute catégorie est réputé dans tout l'est de l'Amérique du Nord.

Sutton accueille également des événements culturels et musicaux, notamment le Festival de Jazz de Sutton à la fin septembre. Chaque année, le 1er août, les Suisses célèbrent la Fête nationale suisse en grande pompe. Chaque été, le samedi le plus près de cette date, la Fédération des Sociétés Suisses de l'Est du Canada organise une imposante célébration au Mont Sutton. Les Cantons de l'Est abritent une importante population de Suisses expatriés qui ont été attirés par les paysages montagneux rappelant leur pays.

Au cœur de la ville, l’ambiance des restos, des auberges, des gîtes et des hôtels font de Sutton un endroit chaleureux, en harmonie avec la nature.

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La région de Joliette fut longtemps au Québec au cœur de la production du tabac, une habitude que les premiers colons français avaient emprunté aux Premières Nations qui le cultivaient. Les Amérindiens rencontrés par Jacques Cartier cultivaient déjà le tabac qu'ils faisaient sécher au soleil avant de le fumer dans une pipe. Le Québec devint ainsi jusqu’au début du XXe siècle le premier producteur canadien de tabac. La culture du tabac était surtout concentrée au nord de Montréal, dans Lanaudière.  Le déclin du tabagisme et la concurrence des tabacs produits à l’étranger à meilleur coût entrainèrent à partir de 1980 le déclin de cette production agricole.

Par un curieux retour des choses, la vigne venue d’Europe a remplacé le tabac indigène qui lui est maintenant produit à travers le monde. La reconversion d’anciennes terres à tabac de la région a permis la naissance d’une industrie viticole florissante depuis une vingtaine d’années. À Saint-Thomas de Joliette, c’est le cas du Vignoble Le Mernois. Dans son pavillon de dégustation, vous pourrez découvrir ses vins issus d’un terroir riche et distinctif. Il produit des vins uniques et savoureux à partir de cépages du nouveau monde qui se déclinent en blanc, rosé, rouge et fortifié.

Mais c’est un peu à l’es, du côté de Lanoraie qu’on trouve le plus de vignobles dans la région. Le Vignoble aux Pieds des Noyers a été un des premiers vignobles à s’implanter sur la rive nord du Saint-Laurent. Il se distingue par son caractère unique et particulier en procédant à la culture de cépages nobles. Un service de traiteur et de table gourmande personnalisée sont disponibles sur réservation.

Au Vignoble Carone, l’héritage et le savoir-faire italiens adaptés à la situation québécoise font des produits Carone des vins de haute qualité respectés dans le milieu. Médailles internationales en poche, les vins Carone sont reconnus et appréciés un peu partout dans le monde. son Cabernet Severnyi  est le seul vin rouge québécois à figurer parmi les cent meilleurs vins disponibles au Québec. Trois autres vins rouges du vignoble  figurent parmi les vingt meilleurs vins du Québec.

Le Vignoble Mondor a emprunté son nom de la compagnie qui était à l’époque une entreprise renommée, cultivant du tabac de grande qualité. Ses terres fertiles, chargées de l’histoire de la région, renaissent désormais grâce à la viticulture. L’entreprise est toute récente et les premières cuvées ont été élaborées en 2009. Le vignoble produit des vins rouges et blancs, secs et fruités , ainsi qu’un vin de glace.

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