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Archive du blog pour juin 2021


Établissement quatre étoiles renommé, Le Manoir de Baie-Comeau  vous offre le meilleur d’hier et d’aujourd’hui.  Au cœur du quartier historique de Baie-Comeau, 60 chambres parfaitement équipées, confort haut de gamme, restaurant raffiné, détente et santé et le majestueux estuaire du Saint-Laurent à vos pieds. Offrant le charme unique d’un vieux manoir de style colonial français, la majorité de ses chambres, ses salles de réunion, sa salle à manger, sa terrasse et ses jardins offrent une vue imprenable sur le Saint-Laurent et un accès direct à la plage.

Manoir de Baie-Comeau 1937
Construit en 1937 par Robert Rutherford McCormick, l’année même où il fonda Baie-Comeau, le prestigieux édifice a toujours offert tout ce qu’il fallait pour que le séjour des amoureux, des gens d’affaires et des gens du monde lorsqu’ils visitaient la Côte-Nord. En 1965, le Manoir fut rasé par les flammes et il faut reconstruit au même endroit, en remplaçant le bois par de la pierre. En 2004, il a subi une cure de rajeunissement. Encore plus confortable, à la fine pointe de la technologie, il répond mieux que jamais à la vision qu’en avait son créateur : un endroit calme et inspirant, où il fait bon vivre, manger, travailler et se reposer.

Le confort de votre hébergement comprend téléphone, téléviseur, appels locaux, eau en bouteille et café gratuits, fer et planche à repasser, séchoir à cheveux et salle de bain complète. Dans certaines chambres, vue sur le fleuve, bain-tourbillon, foyer, lecteur CD, DVD avec choix de musiques et de films gratuits, coffre-fort, journal et fauteuil ergonomique.

Bistro La Marée haute
Une salle à manger et deux bars, dont un avec terrasse et foyer, vous accueille et peut aussi recevoir vos invités si vous souhaitez organiser un événement. Tout comme 7 salles de réunion, parfaitement équipées et pouvant accueillir jusqu’à 450 personnes, sont à votre disposition.

Le bistro La Marée haute avec sa terrasse estivale époustouflante est opéré depuis quelques années par Carl Beaulieu, un restaurateur bien connu dans la communauté, ancien propriétaire de L’Orange bleue. Sa table d’hôte très raisonnable pour la qualité qu’elle offre, est disponible tous les jours sauf le dimanche.

Vue du Manoir de Baie-Comeau

Hôtel Le Manoir de Baie-Comeau

8, avenue Cabot

Baie-Comeau (Qc) G4Z 1L8

418.296.3391
/ 1.866.796.3391

La Côte-Nord vivra un été hors du commun. Les touristes voyagent plus tôt dans la saison, et on prévoit qu’ils seront plus nombreux et que leur séjour plus long. La saison vient à peine de commencer, mais la présence des touristes à Sept-Îles se remarque un peu partout. Plus à l’est, à la Réserve de parc national de l’Archipel-de-Mingan, le nombre de réservations des sites d’hébergement a déjà surpassé le nombre de sites loués au cours de la saison 2020. «L’avantage de cette année, c’est que les gens semblent avoir plus de temps à passer sur la Côte-Nord. Parce que quand un site n’est pas disponible, ils vont choisir la journée d’après ou le surlendemain. On voit que les gens ont une belle flexibilité. Ça aide pour nos transporteurs maritimes», a indiqué le directeur de l’unité de gestion de Mingan de Parcs Canada, Dany Lebrun. Chez Hydro-Québec, ne pensez pas visiter Manic-2 ni Manic-5 cet été. Le calendrier de réservation est complet. Les seules places disponibles pour une visite d’installations hydroélectrique sur la Côte-Nord se trouvent au complexe de la Romaine au nord de Havre-Saint-Pierre. Ce n’est pas par hasard que depuis des mois, l’industrie touristique de la région recommande aux visiteurs de bien planifier leur voyage pour éviter les mauvaises surprises.

Après avoir été contraint d’annuler son édition 2020 en raison de la pandémie, le Festival de la chanson de Tadoussac revient avec force dans une 37e édition exceptionnellement étalée sur dix jours, du 25 juin au 4 juillet, selon une formule repensée.

Une quarantaine d’artistes, dont Louis-Jean Cormier, Bleu Jeans Bleu, Les Trois Accords, Marie-Pierre Arthur, Patrick Watson, Alaclair Ensemble et Ariane Moffatt déferleront sur trois scènes intérieures et extérieures.


À ces valeurs sûres s’ajoutent plusieurs artistes émergents, dont Ariane Roy, Bon Enfant, Belle Grand Fille et Mon Doux Saigneur. Le spectacle Nikamu Mamuitun sera également présenté, accompagné pour la première fois d’une projection vidéo conçue spécialement pour le festival par des artistes autochtones.

Quelques artistes donneront même deux concerts, question de rejoindre un plus grand public. Faire passer le festival de quatre à dix jours permet d’accueillir le même nombre d’artistes qu’en temps hors pandémie, souligne le directeur général, Julien Pinardon.
« C’est la solution qu’on a trouvée, a-t-il commenté. Ça nous permet aussi d’avoir moins de public en même temps dans le village ».
Les billets seront vendus en nombre limité. Les spectacles intérieurs, dont ceux à l’église du village, pourront accueillir de 140 à 170 festivaliers en distanciation, tandis qu’à l’extérieur, de 50 à 80 personnes pourront se réunir devant une scène.


À Tadoussac, devant le Saint-Laurent, on voit d’immenses dunes de sable appelées terrasses marines. Ces dunes sont le résultat de l’action du vent qui forme des monticules de sable de formes parfois bizarres, parsemées de tableaux et dessins faits par le vent. La forme des dunes ressemble la forme des bancs de neige sculptés par le vent lorsque le vent rencontre un accident de terrain. Quant à la terrasse marine, elle est un souvenir du passage du glacier qui a créé le fjord du Saguenay il y a des dizaines de milliers d’années.

Dunes de Tadoussac
 Lorsqu’il descendait vers le fleuve, le glacier a transporté des sédiments, des cailloux, de la terre et du sable. Le vent a emporté les matériaux légers, le sable toutefois s’est accumulé au fil des siècles, créant de belles collines dorées. Les dunes de sable à Tadoussac font partie du terrain occupé par le parc national du Saguenay et sont certainement un des plus beaux et attirants coins du parc.

Dunes de Tadoussac
Dans les années 40, un sport unique au monde a vu le jour à Tadoussac, le ski sur sable. Se sport se développait jusque dans le 1980. Des compétitions de ski sur sable sont devenues populaires et attiraient du monde. Mais en 1983, le Parc national du Saguenay rachète le secteur à la famille Molson pour en créer un centre d’interprétation et de protection de la nature. Désormais, la glissade sur sable est interdite, parce que ce sport endommageait la composition des dunes et les détruisait peu à peu.

Après avoir échoué dans sa tentative de convaincre le Ottawa Catholic School Board (OCSB) de voter contre une motion visant à hisser le drapeau arc-en-ciel  sur le terrain des écoles pour le mois de la Fierté la semaine dernière, l’archevêque d'Ottawa-Cornwall, Mgr Marcel Damphousse, a tenté de se justifier en associant le "drapeau de la fierté gaie" à un "style de vie"

"Il faut bien comprendre que nos écoles catholiques se situent dans la grande communauté de l'Église catholique, alors tout ce que l’école va décider a un impact sur tout le reste. J’ai tout simplement dit qu’en hissant le drapeau de la fierté gaie, ça va créer beaucoup de division [dans notre communauté catholique]'', a dit celui dont la recommandation a été  ignorée, alors que le conseil scolaire anglophone a finalement voté en faveur de la proposition fin mai, à 9 contre 1.

L’archevêque a affirmé  qu’il n’est pas contre le drapeau en soi, mais que celui-ci symbolise autre chose dans la vie publique en dehors de l’école.

"C’est tout le style de vie qui accompagne le drapeau. [...] Moi, quand je vois le drapeau, je pense à la parade de la fierté gaie. Quand tu regardes la parade, bien, il y a des scènes [qui font en sorte que] moi je n'encouragerais pas mes jeunes d'adopter un style de vie comme celui-là, mais j’accompagnerais le jeune qui est en quête de sens et d'identité sexuelle."

Mgr Damphousse estime qu'il y a une idéologie politique derrière le drapeau et qu’il y a du lobbying pour afficher le drapeau partout. "Et si on ne le met pas partout, on est considérés comme des homophobes, ce qui est faux" selon lui.

Rappelons qu'encore hier Marc Miller,  le ministre fédéral des services aux autochtones, exigeait de l'Église catholique qu'elle présente ses excuses pour les mauvais traitements, y compris les sévices sexuels,  infligés aux enfants autochtones dans les écoles résidentielles. L'Eglise catholique n'a de toute évidence pas autant d'empressement de dénoncer ce "style de vie" pédophile de ses prêtres. 

Sources: SRC

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